La science moderne contre les noirs?INVESTIGATION 

Afrique: Il ne faut pas avoir peur d’écrire la vraie histoire.

Pour éviter de revenir toujours sur les mêmes sujets politiques qui tirent l’Afrique francophone en arrière, il faut que les intellectuels sortent pour écrire, parler, sans prendre partie, mais dire ce qui est vrai pour faire de cette tragédie, une réelle histoire vécue. Même si cette triste réalité ne peut pas être connue comme l’existence des deux grands symboles mondiaux religieux, Jésus et Mohamed, ce que vivent les noirs, doivent être connus et bien connus.

Beaucoup d’africains qui veulent écrire l’histoire de notre continent, le font souvent par passion et l’émotion prend la fin du récit. Ils ont la chance que les générations ne lisent plus. On ne sait pas si c’est réellement une chance, mais les africains ne lisent plus pour dire qu’ils veulent apprendre leur propre histoire. De l’éducation à la formation, les responsables ne font rien pour attirer l’attention de la jeunesse africaine sur les avantages de connaître sa propre histoire que de se vautrer sur celle des autres.

En Côte d’Ivoire où la France a une mainmise sur tout ce qui est politique, tous ceux qui sortent, se justifient pour se donner bonne conscience de leur haute trahison. Comme ils ne veulent pas mourir la conscience chargée, ils se confessent sans dire la vérité. Nous voulons que tous les passés tristes soient racontés par tous les supports. 

Il ne se passe pas d’élections en Afrique sans que le vrai choix du peuple ne soit validé par les organismes qui régulent ces élections, parce que la France, cette même France, est tapie dans l’ombre qui dicte ses lois et s’impose. L’histoire de l’Afrique est comme une complétion qui cherche des athlètes où les coupables cherchent à se justifier sans donner les raisons de leur traîtrise pour les éviter aux générations à venir.

Tout piétine.

On ne peut pas mener un tel combat sans média, mais il y a toujours les présidents africains et certains hommes dits d’affaires qui complotent contre les initiateurs pour tuer le foetus dans l’œuf. Les exemples sont légions, mais toujours la France se bat pour protéger ses intérêts menacés. Elle déploie tous les moyens pour broyer tout espoir africain.

Si aujourd’hui, on continue de parler et d’enseigner l’histoire de Jésus et de Mohamed, c’est parce qu’il y a eu des historiens et écrivains qui ont su conserver l’histoire de ces deux personnages religieux. C’est pourquoi, il ne faut pas avoir peur de dénoncer notre passé qui n’a rien avoir avec la cohésion sociale. Tant que les africains n’arrêteront pas de confondre la science sociale et l’histoire des peuples, l’Afrique ne s’en sortira jamais. On écrit pour éclairer les citoyens et non pour faire la part belle à un groupe de personnes ou à un homme politique, nous dit Liadé Gnazegbo.

                              Joël ETTIEN 

      Directeur  de publication: businessactuality.com

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