Afrique: un peuple qui se renie, est toujours une proie facile à manipuler et c’est le cas des africains, qui n’ont aucune base culturelle.
Aucun peuple sur cette terre ne peut se développer sans sa propre culture et les africains, à force de vouloir plaire aux cultures des autres, n’ont plus de repères et pataugent.
Le peuple africain à la dérive
Déjà, leur développement ne se repose sur rien du tout. Tout peuple qui aspire au bonheur, doit pouvoir compter sur ses propres forces morales, religieuses, spirituelles.
Les noirs africains ou africains noirs, n’ont aucun élément de base pour soutenir et activer leur mode à eux, pour imprimer leurs marques. Et pourtant, la religion est née en Afrique, comment se fait-il que ces africains, n’aient pas pu résister pour que les colons viennent leur laver le cerveau, pour y planter, leur culture ?
En Côte d’Ivoire, chaque peuple a ses dogmes et ses pratiques occultes et religieuses. Pendant longtemps, les anciens africains puissants, s’en sont servis pour braver l’ennemi. Au moment où, la progéniture devrait prendre le relais ou la relève, la bible et le coran, sont venus tout raser. Du coup, les esprits protecteurs vadrouillent, car chassés de chez eux. Ils sont devenus des sans domicile fixe, (SDF). Alors, s’ils sont contraints de quitter leurs autels pour prendre les rues, les forêts, quand-est ce qu’ils auront l’esprit tranquille pour jouer leurs rôles de protection pour éveiller les consciences qui activent les mémoires qui boostent les génies ?
Un peuple sans protection
On s’étonne de trop de morts subites, d’accidents mystiques, de catastrophes naturelles, ce qui n’existe pas du temps ancien, parce qu’il y avait toujours des oracles qui prédisaient l’avenir. Quand on arrive chez les autres qui ont été colonisés au même titre que les noirs africains, ils ont pu garder leur base.
Chez les asiatiques, ils ont leurs pratiques. Faites désormais attention quand vous entrez dans une boutique ou un restaurant asiatique, il existe un autel où un bouddha est assis, à qui, ont donne des fruits, des pièces d’argent et leur commerce prospère.
Pour l’africain, on dit que c’est démoniaque et ce sont les africains eux-mêmes qui conspuent leur existence. Pour peu qu’ils veuillent pratiquer leur tradition, des « Hommes de leurs dieux nouveaux » les répudient. C’est toujours qui chantent les merveilles d’un dieu qui s’en moque. Les blancs sont souvent étonnés de voir l’acharnement des noirs africains, chanter, crier à la gloire des dieux qu’ils ont oublié. Le Vatican existe parce qu’il existe des noirs qui continuent de vénérer leur « chose ».
C’est pourquoi, bientôt, il y aura un pape noir, parce que les blancs ont laissé derrière eux pour aller dans des laboratoires et ce sont les noirs africains et les pays pauvres qui s’essuient pour alimenter ces édifices religieux.
La tendance nouvelle
Maintenant, ce qui est à la mode, c’est l’arrivée du réveil, tenu par des escrocs sous le couvert des évangéliques qui, pour la plupart vont se servir de la puissance noire, remplissent des entrepôts où leurs fidèles jouent la comédie, pour dire que Dieu passe par eux pour agir. Le miracle viendra quand ?
Pendant ce temps, chez les inventeurs de ces religions, leurs lieux de culte sont entrain d’être vendus, cathédrales par exemple. Les chinois les achètent pour en faire des hôtels, des night clubs, parce que les mairies n’arrivent plus à les entretenir. C’est en cela que je voudrais féliciter le président Paul Kagamé, qui a fermé toutes les églises. Mais, il aurait dû supprimer dans son nom le Paul, pour garder Kagamé.
Du temps du président Moboutu, il avait tenté et réussi, quand il avait demandé à ses compatriotes de reprendre leurs noms d’origine. Depuis lors, vous arrivez en RDC, des noms originaux sont portés fièrement par des noirs. Il faut que le peuple africain apprenne à aimer son propre corps car en se reniant, il donne toujours le bâton aux blancs de le considérer comme un sous-hommes, un être incapable d’exister par lui-même. Quand on voit la dépigmentation des peaux, oh, dieux d’Abongoua et de Bongouanou, qu’ont-ils mangé pour mériter un tel sort ?
Le cas du peuple ivoirien
Le peuple abruti, c’est bien les ivoiriens. Quand un enfant naît, ses parents vont aligner des noms des stars souvent plusieurs pour un seul enfant sans aucun nom de famille et l’enfant grandit, sous les influences de ces noms dont ils ne savent pas leurs origines.
Qui pourra me dire qu’un blanc a porté une seule fois, un nom africain pour grandir ? C’est toujours le noir qui se croit inférieur et s’adoube de la croyance des autres pour exister.
Chez les akan, il y existe bien, les 10 commandements et je pense que chez les autres aussi. A force de vouloir emprunter la culture des autres pour avancer, les africains reculent. Un penseur a même soutenu que les colons se sont servis de la religion africaine pour inventer leurs dieux, est-ce vrai ou faux, ce qui nous préoccupe, c’est à quand l’éveil des consciences pour ramener les africains à leur base ?
Les politiques peuvent jouer un grand rôle, n’est-ce pas Guillaume, Henry, Laurent, Charles, Joël, Nestor, Roger, Delphine, Alain, Nicaise, Simone, Dorothée et j’en passe ? Tous ceux-là et ils sont nombreux, sont de africains noirs.
Joël ETTIEN
Directeur de publication : businessactuality.com
