samedi, mai 17, 2025
CÔTE D'IVOIRE

Attention, rien ne va à la SODECI.

Afin de permettre une gestion saine des états entreprises de Côte d’Ivoire et d’informer les ivoiriens, nous avons en notre possession certains dossiers émanant de certaines grandes sociétés ivoiriennes comme la SODECI, la CIE et bien d’autres depuis plusieurs mois. Nous estimons qu’il est grand temps de les mettre sous presse.  

Avant de produire cet article, nous avons pris soin de nous rapprocher de la direction de la SODECI et de quelques responsables de ladite société qui nous ont envoyés balader. Qu’est-ce qui ne va pas dans cette grande société qui fournit de l’eau à tous les ivoiriens?

Nous rappelons que dans le capital de cette grande société de distribution d’eau, l’état ivoirien ne dispose que de -4%. ERANOV, une structure française: +47%, et divers ivoiriens: +40%. Mais voilà que depuis quelque temps, l’atmosphère qui règne à la direction n’est pas du tout agréable à cause des accusations et des soupçons graves qui entachent le bon fonctionnement de la société.

L’heure du bilan pour la signature d’une nouvelle convention de 15 ans est presque proche et l’état ivoirien doit passer à sa signature. Le directeur général serait sur le départ et donc, le gouvernement doit procéder à de nouvelles nominations et cela fait remonter des murmures.

Dame Haoussi Afala Honorine est une ancienne cadre de la boîte. La pauvre a été renvoyée sans solde. Elle traîne un lourd handicap en voulant se jeter par la fenêtre pour échapper à la mort, (affaire à suivre). Elle a porté plainte et l’affaire est pendante depuis plus de 6 ans sans suite. Cette triste affaire qui implique le nom de certains de ses anciens collègues et qui est sue de beaucoup de clients, semble ne pas suivre son cours. Ce que les ennemis de dame Haoussi Afala Honorine lui reprochent, elle est la nièce de l’ancien directeur général Ebah Basile, donc supposée détenir de dossiers confidentiels à mettre à disposition pour en finir avec d’autres cadres. Cette tentative de supprimer la vie à la dame Honorine Afala, est liée du fait de son accintance familiale avec M. Basile Ebah, ancien directeur par ses successeurs actuels ?

Qui sont ces divers ivoiriens qui possèdent plus de 40% pendant que l’eau qui sort de Bonoua est souvent décriée pour sa qualité douteuse ? L’état ivoirien n’a que -4% dans le capital de la grande société, est-ce normal ?

Nous exigeons à tous ceux qui sont en litige avec la société SODECI de nous joindre pour un nouvel article en préparation afin d’attirer l’attention des autorités sur le dysfonctionnement de la direction et de la distribution de l’eau en Côte d’Ivoire. Nous signalons que sur ces dossiers, l’actuel directeur M. Bakayoko n’y est pour rien puisque depuis plus de 6 ans l’affaire est pendante au tribunal. Il fait correctement son travail, il n’était pas encore en service quand cela se passait.

L’état de Côte d’Ivoire et les autres associés doivent passer à une nouvelle signature de la convention. Est-ce que cette signature ne peut pas attendre après l’élection présidentielle? Ce soupçon pèse lourd sur certains responsables et on ne peut pas soigner une plaie sans enlever la croûte. Nous estimons qu’il serait judicieux de nommer un homme plus rigoureux et incorruptible comme intérimaire pour redresser la pente.

On rappelle que la distribution d’eau en Côte d’Ivoire est un monopole privé et jalousement conservé. L’état ivoirien qui n’a que 4% des parts, la société française ERANOV: 47% et les associés ivoiriens: 40%, logiquement, cette société devrait être ouverte à la concurrence pour que d’autres acquéreurs s’y invitent pour faciliter le coût trop élevé pour des consommateurs qui se plaignent de la cherté de la vie, mais si l’état traine à ce jour, peut-être le bénéfice énorme des français en ne serait-il pas la cause ?

En attendant de vous fournir de plus amples informations sur le bon fonctionnement et l’atmosphère dans nos prochaines éditions, nous ouvrons cette lucarne afin de faire prendre conscience qu’il y a trop d’injustice et au lieu de chanter à l’équité, certains se donnent le droit et la puissance de décider du genre de qu’ils veulent entreprendre. Dans nos prochaines parutions, d’autres sources qui bloquent la structure vous seront livrées afin que le pouvoir ivoirien se rende compte que, confier des charges et des missions à certains cadres incompétents, ils en font leur champ de blé.

                                    Joël ETTIEN  

           Directeur de publication : businessactuality.com

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