Burkina Faso : Tuer Ibrahim Traoré, c’est perpétrer la bêtise.
Encore un autre coup d’État déjoué au Burkina Faso avec à la clé plus de 5 milliards de nos francs en guise de récompense. Finalement de quoi a souffert les autres à en vouloir le président Ibrahim Traoré à ce point ? ainsi, vouloir tuer Ibrahim Traoré, c’est perpétrer la bête humaine et l’Afrique doit cesser de pleurer ses morts.
Un communiqué a été lu sur les antennes de la télévision nationale burkinabè hier samedi 9 novembre 2024 qui donne cette sueur froide dans le dos des africains.
Pour prouver leur amour à leur patrie et à son président, les forces de défense et de sécurité du Burkina Faso ont joué le jeu et le déjoué plus tard. Qui sont ceux qui croupissent dans l’ombre et qui ne veulent pas voir les burkinabè évoluer?
Nous savons tous qu’une œuvre humaine n’est pas parfaite, mais c’est ensemble que tout se construit. Pour ces africains qui désirent rester sous le juron des français, c’est leur problème, mais à vouloir tout le temps assassiner le président Ibrahim Traoré pour le travail formidable qu’il abat pour sa population, on peut vouloir le tuer, mais on ne pourra pas arrêter la machine qui est lancée, ce qui veut dire qu’il ya encore des milliers de IB qui reprennent la relève, donc, ce qui se passe, doit pouvoir s’arrêter. Qui savait qu’après l’assassinat de Thomas Sankara, il naîtra un autre plus ourdi, déterminé et qui a pris la mesure des erreurs de Thomas pour soigner la chronique ?
On lit ça et là : « déstabilisation au Burkina : une tentative déjouée, 5 milliards de francs, récupérés et une personne mise aux arrêts et des palettes contenant des milliards ont été montrées à la face du monde ». Pourquoi c’est uniquement la personne d’Ibrahim Traoré qu’il faut tuer ? Le burkinabè a pris conscience de ce que les autres nations ont fait croire que c’est un pays pauvre très endetté et aujourd’hui, l’espoir renaît et les peuples ennemis du développement de l’Afrique veulent arrêter cette machine.
Ils tombent mal et on dira même très mal car c’est une affaire nationale, c’est-à-dire que c’est tout le peuple qui conjugue désormais sa vie au présent et nous les soutenons. Il faut tout commencer quelque part et si c’est dans le Sahel que l’ouverture transite, il faut arrêter ces projets démoniaques qui n’iront nulle part.
D’ailleurs, leur devise n’est-elle pas : « la patrie ou la mort y, nous vaincrons » ? Un tel peuple n’est pas vendu.
Joël ETTIEN
Directeur de publication : businessactuality.com