chefs d'état africains, la honte du continentINVESTIGATION 

Coronavirus: quand est-ce que les chefs africains, en prendraient de la graine pour le nouveau monde qui se dessine?

Quel sera le positionnement de l’Afrique avec ces chefs africains, après le Coronavirus pendant que les autres réfléchissent ?

Qu’espérons-nous avec ces chefs africains?

Le monde est ébullition et certains pays africains hélas sont dans l’attente des trouvailles des autres alors que celles-ci, ne seront pas conformes au mode de vie des africains.

Si après le Covid-19, ils développent le travail à distance par le biais d’internet, ne gardant uniquement les travaux manuels, que ferait l’Afrique. Faut-il encore que ces africains y pensent ?

Si après le coronavirus, ils abandonnaient les victoires liées au pétrole pour revenir aux voitures électriques, que ferait l’Afrique ? Ils sont entrain de supprimer beaucoup de métiers pour les réduire à distance, comme la comptabilité, le secrétariat et bien d’autres que les africains affectionnent, que fera l’Afrique par rapport à ceux qui auraient passé toute leur vie dans ces métiers ?

Au plan de la santé, ils sont dans leurs laboratoires à la recherche des remèdes adaptés à leurs soins, que ferait l’Afrique ? Est-ce que les chefs d’état africains ne pourraient-ils se pencher à l’unisson à la recherche du bonheur des africains sans forcément attendre leurs résultats ?

On constate malheureusement que certains chefs d’état africains sont absents de leur siège et qui va actionner ces motivations pour booster ces réflexions ? Ils ont tous abandonné leurs responsabilités pour créer des clubs de retrouvailles du développement des vices et de la perversité, en dehors de quelques-uns qui luttent, les autres sont aux antipodes de la réflexion et de la raison.

Que valent les dirigeants de l’Afrique

Et si demain la plupart des matières premières ne sont plus les bienvenues puisqu’elles leurs sont destinées, ce qui permet à des milliers de planteurs de vivre, quelles solutions de substitution les chefs d’état vont préconiser ?

Encore il faut-il qu’ils en prennent la mesure des menaces en cours et qu’ils anticipent pour ne pas livrer leurs compatriotes dans le désert de la vie ?

L’après corona va modifier le mode de vie de tout le monde entier est-ce que les africains en prennent conscience ? Les pays vont se protéger pour vivre quasiment en autarcie, que songent ces chefs d’état africains qui sont encore dans les soirées avec des amis pour développer plus de vices que de services sociaux pour le futur ?

Voilà sous peu, le pétrole qui sera dans les oubliettes pour affaiblir les pays producteurs de cette matière, car ils en faisaient un peu de trop de chantage, que deviendraient les pays africains qui tiennent le coup par cette matière ?

A quand des grandes réformes qualitatives pour le bien-être des africains ?

Le monde est entrain de se servir du coronavirus pour écrire des nouvelles pages de son histoire et les pays africains qui dépendent de la France, attendent que celle-ci s’en sorte pour leur déverser ses résidus.

Pourquoi pendant que le virus donne du fil à retordre, les chefs d’état africains, sont absents ? Faut-il en profiter pour poser le problème de la monnaie puisque bientôt l’argent va disparaître pour laisser la place aux paiements virtuels ? Pourquoi les chefs d’état africains n’anticipent pas sur l’avenir pour laisser toujours les autres décider à leur place ?

Pourtant rien les en empêche de songer à leur bien-être, bien au contraire, ils leur permettront de souffler que de faire d’eux des boulets.

Ils sont dans les show débordant d’énergie donnant l’impression qu’ils se soucient de leurs compatriotes, ce qui est faux, car dans leur silence, ils se retrouvent pour s’amuser comme des gamins en favorisant toutes les formes de vie à la bestiole.

L’essentiel de la vie ne les préoccupe pas que des recherches de tripatouillages des élections et la consolidation de la monarchie dont ils sont les champions en gaspillant l’argent du contribuable africain.

Désormais, les grands sommets, réunions de contact massifs seront révolus et tout va se passer par les vidéos conférence, par internet, est-ce que les chefs d’état seront outillés pour tenir la route ? Les voyages pompeux avec des suites royales, seront des souvenirs à la Houphouët Boigny.

Les grandes entreprises de négoce, on aura plus besoin de se déplacer pour signer des contrats pour favoriser les dessous de table, est-ce qu’ils en prennent de la graine ?

L’éducation et la formation se feront à distance et par internet, ils en profitent pour faire des tests pendant la crise, est-ce que les chefs d’état africains, peuvent-ils mettre leur cerveau en ébullition à jour et un jour pour éviter la politique de la soumission à la dictée du colon ?

Faut-il compter sur les chefs africains?

Enfin, le monde bouge et les rescapés verront les grandes décisions qui vont s’opérer pour règlementer le monde et l’Afrique semble ne pas tenir compte pour se préparer et ses chefs d’état sans leur isoloir entrain de vivre pompeusement leur propre vie avec la puissance du sang et l’argent du contribuable africain.

Depuis le déclenchement de la crise, quel chef d’état africain, se soucie du continent pour se rapprocher des autres ? Personne et pourtant, les jeunes africains férus dans tous ces domaines qui marqueront le nouveau monde, on en compte des milliers et ceux-ci seront obligés d’aller immigrer chez les autres pour mettre à leur service, tout ce gros savoir pour le développement, des développés.

A quand le réveil de ces chefs d’état africains, dont la plupart font plus honte qu’honneur car se démarquant des leviers qui actualisent les modes de vie. A les voir sclérosés dépassés par les âges de réflexion, les africains leur subiront jusqu’à la nouvelle colonisation intellectuelle qui sera plus cruelle que celle qui a été physique. Jésus Christ risque de ne plus figurer dans les géométries spirituelles et ils vont développer les sectes et les loges. Il a atteint ses limites, ils vont passer à autre chose.

Pauvre Afrique !

                                                                                 Joël ETTIEN

                       Directeur de publication : businessactuality.com  

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