Que fait le président Alassane Ouattara ?A LA UNE AFRIQUE 

Côte d’Ivoire / Affaire de viol: Et si le président Ouattara était visé?

Ne pouvant pas atteindre directement le président Ouattara, ils veulent à tout prix passer par ses ministres pour le diffamer, le discréditer et l’affaiblir. Sans aucun risque de se tromper, le travail de réconciliation et de la cohésion nationale qu’abat le ministre Kouadio Konan Bertin, KKB ne plait pas et l’avatar Christ Yapi, en mission, pense pouvoir trouver là, une aubaine et son pain béni.

Le ministre KKB accusé de viol

En se servant de la fallacieuse affaire de viol de l’artiste camerounaise, qui soutient avoir été violée par KKB, l’avatar croit pouvoir bloquer cette réconciliation. Depuis longtemps, Christ Yapi s’acharne contre tout le système mis en place par le président Ouattara, qui fait tout pour rassembler ses compatriotes. La canne peut-elle accepter qu’un intrus s’en prenne à son caneton sans qu’elle ne réagisse ?

En effet, dans la matinée du 27 sept.-21, Christ Yapi est monté au créneau pour défendre, soit dit en passant, une artiste camerounaise qui se dit violée par le ministre de la réconciliation et de la cohésion nationale, Kouadio Konan Bertin, dit KKB.

Si tout était planifié pour lancer une cabale contre un ministre ivoirien au travail pour rassembler ses compatriotes, c’est directement le président de la république qu’on vise. Christ Yapi, se disant investigateur, aurait infiltré le ministre de la réconciliation et de la cohésion nationale, Kouadio Konan Bertin, dit KKB, avant de lancer ce pavé dans la marre. Il aurait équilibré sa position, mais il a pris parti.

Sur la base de la prise de position de l’avatar, il apporte son soutien à la dame, en s’attaquant mordicus au président ivoirien Alassane Ouattara, avant de déverser sa haine sur son ministre.

C’est une cabale au relent d’une escroquerie monstrueuse et d’un chantage savamment préparés contre le pouvoir ivoirien, puisque, la plaignante réclame 250 000 000 de francs au ministre pour étouffer l’affaire.

Cette affaire nous ramène à faire deux constats et en tirer des leçons. Au premier constat, pourquoi ce sont toujours les filles camerounaises qu’on emploie à jouer à ce jeu ? Pourquoi c’est la Côte d’Ivoire qu’elles choisissent pour opérer ? N’est-ce pas une entreprise des proxénètes qui lance ces prostituées de luxe sur le marché pour faire du chantage aux célébrités ivoiriennes ?

Deuxième constat, pourquoi avoir attendu quelques jours avant son passage à l’émission initiée par la RTI intitulée : « La RTI reçoit » prévue pour le mardi 28 septembre 21, pour lancer ce discrédit ?

On se souvient que du vivant du premier ministre Hamed Bakayoko, une prostituée camerounaise avait failli l’éclabousser et l’affaire s’est étouffée aussi rapidement, le montrant dans un jet privé en sa compagnie.

Qui en sera la troisième victime de ces camerounaises qui ont pris la Côte d’Ivoire comme leur vache à la pour faire saigner ses personnalités ? C’est là, le lieu d’attirer l’attention de ces hommes politiques et autres personnages publics prospérant dans les affaires, et la politique que les camerounaises, ont décidé d’avoir leur peau, en se servant de leur corps pour leur faire du chantage, comme si dans leur pays il n’y avait pas de personnalités sur qui déverser cette voluble ignominie. Les filles ivoiriennes sont aussi belles, vertueuses et dans la plupart des cas, n’oseraient jamais exposer sur la place publique leur intimité pour compromettre toute leur tribu, encore qu’il n’y eût pas eu de viol.

Il est impossible qu’en pleine journée, des gardes de corps d’un ministre, sortent leurs armes pointées sur une jeune dame sans défense, pour l’obliger à monter à bord de la voiture de commandement de ce dernier. C’était donc, une prise d’otage et non, un viol ?

De sources très proches du ministre KKB, ce dernier reconnaît s’être mis d’accord avec la dame qui sillonnait dans son entourage depuis longtemps dans l’intention d’une collaboration. Pour le ministre, il avait trouvé l’occasion idoine d’associer la dame à son voyage sur Divo afin d’avoir le temps nécessaire pour discuter. Une fois arrivée en ville, c’est-à-dire à Divo, les deux ont tout partagé ensemble dans la convivialité pour finir dans la même chambre, où il n’y a eu aucun rapport sexuel. La dame, le reconnaît dans les bandes sonores. Alors, s’il n’y a pas eu de rapports sexuels, sur quelle base fonde t-elle son acharnement pour exiger des dommages et intérêts allant jusqu’à 250 000 000 frs ?

Est-ce que la dame ne s’est-elle pas sentie frustrée que le ministre l’ait vue nue sans passer à l’acte qui la outre à le faire payer ?

L’affaire a eu lieu le 9 avril 2021, pourquoi c’est maintenant qu’elle trouve opportun de la révéler ? Pour une chantre qui communiquerait directement avec Dieu, son apparence osée peut-elle être en corrélation avec les lois de Dieu ? Pour le moment, elle et son mari réclament un dommage et intérêt de plus de 250 000 000 de francs CFA pour une nuit sans rapports sexuels. Si ceux-ci avaient eu lieu, à quel prix se vendrait-elle ?

Cette affaire devrait interpeler les autorités et la population ivoirienne à vouloir trop être hospitaliers sans garde-fous. Sans protection, ils s’exposent toujours à ces genres de déviation et atteinte à leur honneur et dignité. Le ministre KKB est celui qui paie aujourd’hui et comme on ne sait jamais qui sera le prochain, cela doit absolument provoquer un éveil de conscience pour régir l’acceptation des autres.

Nous allons y revenir dans nos prochaines éditions. Cependant, il faut qu’il y ait cette solidarité entre les ivoiriens, car ce que ces étrangers ne peuvent pas faire chez eux, pourquoi leur laisser cette liberté de prospérer et repartir avec des butins après avoir tout détruit ?

Il n’y a jamais deux sans trois, qui serait donc le troisième larron qui sera sacrifié sur l’autel de ces camerounaises qui n’ont pas honte d’exhiber leur intimité pour de l’argent ? Que cette cabale, soit comme une tempête dans un verre d’eau et le président Ouattara ne doit pas laisser cette porte ouverte à des prédateurs sexuels car son pays doit avancer.

                                                           Joël ETTIEN

                             Directeur de publication : businessactuality.com

Related posts

Leave a Comment