Assoa Adou à OuattaraPOLITIQUE 

Côte d’Ivoire: Sur quoi se base Assoa Adou pour confirmer la date du retour du président Gbagbo?

Le porte-parole du président Gbagbo, Assoa Adou a rassuré mordicus que le président Gbagbo, rentre le 15 mars 2021 et des pagnes sont en train de se vendre comme des petits pains et pourtant, on nous annonce qu’il y a un dernier procès qui est prévu pour le 31 mars, alors la question que je pose, cette confirmation qui suscite du commerce, est-elle vraie, si oui c’est une délivrance, comme me dit un supporter du président Gbagbo, mais si c’est le contraire, faut-il donner un crédit à M. Assoa Adou ?

Assoa Adou annonce le retour du président Gbagbo

Qui ne sait pas le président Gbagbo et son fils Blé Goudé sont internés à cause de la France qui voyait en eux des éveilleurs de conscience pour abroger ses intérêts ? Mais en même temps, elle n’a pas le choix que de les libérer, mais la période des élections locales en Côte d’Ivoire, n’est pas finie, peut-elle autoriser leur retour dans leur pays natal ?

On dirait que le retour du président Gbagbo et de son fils Blé Goudé, n’a rien plus de politique, mais commercial, sinon, en lieu et place de grands projets politiques pour le développement, de recherches de sortie de crise, ce sont des pagnes qui se vendent. Après la joie des retrouvailles, on doit s’attendre à quoi d’autres ?

Comme tout ce qui touche et traite des problèmes du président Gbagbo et de Blé Goudé, prend facilement, il ne faudrait qu’on donne de faux espoirs au peuple ivoirien. Tantôt, c’est madame Gbagbo, qui fait de ce retour, des shows mêlés à la religion, et ceux qui attendent ce retour, sont dans l’embarras.

Alors, quelle assurance et est-ce que du président Gbagbo a donné l’autorisation à son porte-parole, M. Assoa Adou, d’annoncer sa venue avec la date exacte ? Pour le moment le gouvernement ivoirien, n’a rien dit ou confirmé cette joie qui enfle dans les camps du président Gbagbo.

De toutes les façons, personne n’a intérêt à ce que les ivoiriens restent en dehors de leur pays pour des opinions et cela est mentionné dans la constitution, qui stipule qu’aucun ivoirien ne doit être contraint de vivre en dehors de son pays.

Nous ne sommes pas défaitistes, mais nous faisons partie de ceux qui, comme Saint Thomas, ne croient que ce qui est visible, attendons de voir.

                                                        Joël ETTIEN

            Directeur de publication : businessactuality.com

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