Côte d’Ivoire: Des drames, dans les hôpitaux et les viols sont récurrents et ce n’est pas normal.

                                         Drames en Côte d’Ivoire           

Pourquoi autant de viols, de stérilité et de mort-nés en Côte d’Ivoire ?

Le période des élections approche à grands pas et les marabouts de tout acabit vont venir vendre des rêves aux différents soupirants. Les viols, disparition des enfants à la sortie des écoles pour des rituels seront récurrents en Côte d’Ivoire. En plus, un phénomène est entrain de gagner du terrain et dont les autorités dans leur complicité feignent ne pas voir, l’introduction des contraceptifs et des méthodes pour freiner la fécondité en Côte d’Ivoire. Suivez mon regard. Mi-juillet 2019, au CHR de Gagnoa, la ville du président Gbagbo, il y 25 bébés morts en une semaine, ce qui n’a pas inquiété outre mesure, les autorités de la ville. Dans tous les établissements scolaire et secondaire de la ville, les responsables contraignent les filles, peu importe leur âge à prendre des pilules pour éviter soi-disant, les grossesses non désirées. A Abidjan, toutes les jeunes en âge de procréer, il leur suffit de se rendre dans un centre hospitalier pour d’autres soins, qu’on leur inocule, des virus pour bloquer leur fécondité.

Revenons sur les viols. On dit souvent quand un homme veut être puissant, il couche avec son ami homme et le sodomisant, lui soutire sa chance. Cette pratique est récurrente dans les confréries. Maintenant, ce sont des filles vierges qui répondent favorables à cette pratique démoniaque, qui sont devenues des proies faciles. Comme les filles au-delà des 15 ans, ont connu pour la plupart, des hommes, alors, ces criminels, se tournent vers les mineures de moins de 8 ans.

Comme la justice est corrompue jusqu’à sa moelle épinière, aucun violeur, ne craint le pire et ils sévissent sur toute l’étendue du territoire ivoirien. Des hommes politiques, aux artistes, aux commerçants, transporteurs et j’en passe, tous ceux-là qui ont besoin de rituels pour gravir les échelons, passent par ces sacrifices pour atteindre le sommet de leur gloire, ce sont les mineures qu’ils violent, souvent même avec la complicité des parents à qui, on propose des sommes exorbitantes.

Quelle force, une mineure de 3 à 8 ans, peut-elle avoir pour résister ou supporter le poids et le sexe d’un homme adulte ? Très souvent, ils éventrent leurs victimes et prennent la fuite, la police souvent, dans le jeu, aucune enquête n’aboutit.

Donc, les élections capitales approchent et ses enjeux sont énormes. Qui perd, gagne. Sauve qui peut. Autant de sang humain et de grabuges inhumains pour bénéficier de la puissance surhumaine pour se faire élire.

Les pays africains s’adonnent trop à ces rituels, sans compter les gros commerçants et hommes d’affaire.

             la stérilité  précoce en Côte d’Ivoire 

La stérilité involontaire existe. La plupart, c’est après des opérations chirurgicales et avec la complicité du pouvoir et des médecins dans les centres de santé. Il y a des vaccins et autres gélules aux conséquences dramatiques qui tuent les fétus sans que la victime s’en aperçoive, puisque c’est le docteur qui l’a ingurgitée. Tout ce qui vient du docteur, n’est pas à discuter puisqu’ils ont prêté le serment d’Hippocrate.

Mais, comme l’occident ne veut plus que l’Afrique se développe, alors, ils passent par les gouvernements pour limiter la croissance et revenir, s’accaparer de ce beau continent, qui ne connait ni d’hiver et dont tout pousse à merveille. C’est ce qu’on appelle, la politique de la théorie du peuplement démographique.

Le président Macron, en a fait un constat, jugeant qu’il est inadmissible qu’un seul noir fasse plus de 7 enfants. Et comme les africains, courent sans s’arrêter, et voilà qu’ils appliquent à l’insu des jeunes mères, des médicaments dans ce sens.

         La prudence est de mise

Donc, il faut faire très attention. C’est cette même théorie qui avait été appliquée en Australie, qui avait permis aux européens d’éliminer tous les indiens pour occuper leurs terres. Ou si les gouvernements africains ne sont pas au courant, ce qui m’étonnerait, ils ont averti et le risque est réel, ils font comment ? Aujourd’hui, en Côte d’Ivoire, on trouve des jeunes filles de moins de 30 ans, qui ne font plus de règles, parce qu’elles sont passées, un jour dans un centre de santé pour des soins et à qui, on a inoculé ces contraceptifs, sans leur consentement.

                                                           Joël ETTIEN                       

                  Directeur de publication : businessactuality.com

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