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Côte d’Ivoire: Il ne faut pas mêler la politique à la religion, sinon les noirs seront des proies faciles pour l’avancée de ce monde.

Il faut dissocier la religion de la politique et laisser les politiques faire leurs pratiques contraires à la croyance et le faisant, Dieu ne viendrait jamais sanctionner le peuple parce qu’il retire sons nom dans leur combat. Le fait de mélanger Dieu, Jésus, dans le comportement quotidien des ivoiriens, ils ne savent plus par et comment pour résoudre leurs problèmes qui se multiplient chaque jour sans cesse. Il ne faut pas mêler la politique à la religion.

La politique et la religion sont deux choses à ne pas mêler

Les églises ont été créées tout comme la musique pour adoucir, endormir les mœurs. La religion n’a jamais libéré un peuple qui souffre, sinon, Israël et la Palestine, allaient s’entendre depuis que la religion les oppose. Loin de moi, de manifester une quelconque haine, un désamour ou diffamer contre la religion, j’invite les uns et les autres, à nous faire un vrai bilan comparatif à tous les combats politiques, pour en déduire, ce que les prières ont apporté. On ne bâtit pas un programme de société, une société sur la religion, le faisant, on manque d’arguments solides pour proposer, le bien-être à ces derniers.

Aux USA, les noirs n’arrêtent pas d’implorer Dieu devant les policiers blancs racistes, qui ne croient pas en Dieu et dégainent sur eux pour les tuer, au moment où ces noirs à genou, les supplient. En Europe, surtout en France où on trouve plus de cathédrales et églises catholiques et sont vides de fidèles, mais ces derniers sont en avance sur le temps. Les prières, ne peuvent pas libérer un peuple. Un peuple se libère par les résultats des recherches dans les laboratoires et ça manque en Afrique surtout en Côte d’Ivoire où des personnalités de haut rang en font leur cheval de bataille, sans en tirer les conclusions et elles y sont, détournant le regard des citoyens vers l’inexistant.

Qu’est-ce que la prière a pu faire, face au Covid-19 qui dicte sa loi et qui a contraint les grands maîtres religieux à lui obéir ? La prière, telle que pratiquée en Côte d’Ivoire, devient quasiment source d’escroquerie et de mendicité intellectuelle.

Pour aller au paradis, s’il existe, on n’a pas besoin d’être pauvre, la vie se mène sur la terre des hommes. La fin de tout homme, c’est la mort, je n’ai jamais vu, des prières réveillées un cadavre. Le couple Gbagbo qui a passé le plus grand temps dans les prières, celles-ci, n’ont pu rien faire jusqu’à ce qu’il soit humilié par les différentes armées étrangères logées sur le sol ivoirien.

Il n’y a jamais eu au monde, un couple aussi croyant que celui des Gbagbo mais c’est dans leur camp, il y a eu plus d’atrocités et ça continue, car, c’est ce couple qui a fait plus la promotion de la religion avec ses nombreux pasteurs. Quels ont été les résultats concrets aujourd’hui? Quand on confond la politique à la religion, on subit les affres de la cruauté de l’homme qui ne croit pas, si ce n’est la protection de ses propres intérêts. Madame Gbagbo, apparemment, n’a pas encore tiré les enseignements et continue d’y croire car pour elle, c’est Dieu qui l’a sortie de prison. Tout ce qu’elle reçoit, c’est Dieu, sans en remercier les donateurs, créant des frustrations. Elle sait bien que si le président Ouattara, n’avait pas eu pitié, elle serait encore en prison. Enfin, on ne libère pas un prisonnier politique, mais on le réhabilite.

Quand les noirs se comportent de cette manière, se cachant derrière les prières pour se développer, ils donnent raison aux racistes blancs de les considérer, comme des êtres inachevés. Je refuse cette doctrine qui assujettisse que d’autoriser les mémoires à chercher, à créer que de les pousser toujours à la consommation. 

la religion empêche les noirs de se mettre véritablement à la recherche de leur liberté, à l’invention des technologies adaptées à leur mode de vie et sont dans l’obligation de consommer les résultats des autres et un matin, ils risquent de mourir par empoisonnement à forcer de les certifier.

                                                  Joël ETTIEN

   Directeur de publication : businessactuality.com

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