Côte d’Ivoire : Ils ont été incapables d’offrir du bien-être pour venir offrir de la perversité.
Ils ont pris de force le destin des africains et dans l’incapacité de leur offrir du bien-être, ils leur offrent de l’homosexualité. Et malgré le cri d’alarme de ces africains, ils font la sourde oreille et se lancent dans la diversion.
C’est un sujet dont on a voulu ne pas parler, mais l’exagération de la communication qu’il y a autour, nous pousse à rebondir à nouveau et n’en déplaise. Sur le sujet certaines langues se délient et les abusés sortent pour faire des témoignages glaçants et la toile est bondée de diverses vidéos qui outrent.
Le concept en lui-même, est vieux comme la prostitution, mais c’est, l’imposer comme mode vie exemplaire, la contrainte de faire de cela, un bien-être, une réussité pour pervertir les mœurs , c’est la partie du film que nous ne supportons pas. Libre à celui ou à celle qui, à la place du plaisir hétérogène veut s’accoupler avec son camarade de même sexe, c’est son problème, mais de là, à faire une promotion professionnelle, artistique, politique, cela devient une imposition que nous combattons.
Savez-vous qu’à partir de ces travers, la pédo-criminalité a refait surface puisque, ceux qui pratiquent l’homosexualité confondent leurs proies et ce sont des mineurs dont les parents sont dans l’extrême pauvreté qui se jettent dans la pratique dans l’espoir des modiques sommes et de téléphones portables pour finir à mourir dans l’isolement? Ce sont des dérivés que nous combattons, mais pour ceux qui sont conscients et qui veulent se faire tailler des pipes ou de fellations, c’est de leur propre volonté, on ne peut rien contre, mais aller jusqu’à voler la virginité des gamins de -10 ans, c’est un crime, c’est de cela que nous parlons et que nous exigeons de la fermeté de la part du gouvernement ivoirien qui, quand il veut aborder le sujet titube comme un aveugle qui marche sans canne.
Quand il s’agit de se battre pour être des élus et qu’à la place d’un bon projet de développement, on offre la perversité à une jeunesse qui n’a plus de visibilité, c’est un échec et en l’état sous d’autres contrées, c’est la démission, mais en Afrique tous ces travers constituent un bilan de gouvernance. Comment peut-on admettre que le peuple crie ses douleurs et que ceux qui ont la charge de le rassurer, n’arrivent pas à prononcer des mots dans des phrases correctes pour apaiser, une manière de transmettre que de leur incapacité, ils ont rendu le pays, la poubelle du monde.
Il faut absolument tranquilliser la population qui ne se retrouve pas et tout le monde doute de tout le monde, c’est de la méfiance. Si vous avez réussi à casser des maisons pour mettre dans la ville avec une police, ce n’est pas pour combattre ce phonème que l’état doit crier sa faiblesse et son incapacité à le faire, encore que les pratiquants et les lieux sont connus,
Joël ETTIEN
Directeur de publication : businessactuality.com