Côte d’Ivoire: Interdiction de sortir du territoire, qu’est-ce qui étonne?
Interdiction aux responsables de sortir du pays, qu’est-ce qui doit étonner ?
Pourquoi interdire les responsables du pays de sortir?
Le président Ouattara a pris un décret d’interdiction de quitter le territoire national pour tous ceux qui ont des responsabilités et cela fait jaser, notre contribution.
Tous les leaders politiques ivoiriens, oublient que l’année 2020, est une année cruciale pour la Côte d’Ivoire et pour tous les ivoiriens. Comme si c’était la recolonisation des ivoiriens, qui ont peur des sifflets des bateaux sur les plages des ports, pour les embarquements. La peur et l’anxiété s’emparent petit à petit des ivoiriens.
Les consulats des pays européens et américains ou les autres pays en paix, sont bondés de demandes de visas. Tous ceux qui ont les moyens veulent aller se mettre à l’abri et laisser les pauvres qui n’ont que leur terre ivoirienne mourir de la mort qu’ils vont leur occasionner. Certains, vont stimuler des fausses maladies pour quitter le pays. Voilà une autre aubaine pour les médecins qui vont s’enrichir pour la délivrance des fausses maladies dont seuls les hôpitaux extérieurs peuvent en venir à bout. Eux-aussi, ça sera leur traite.
Les barrons des partis politiques, dormiront d’un seul œil dans leur complot de fuir leurs responsabilités. Leur roublardise n’accouchera pas d’enfants bénis pour prolonger leurs ignobles festins électoraux. Wattao a réussi à s’extirper de ces mailles de filet, aux odeurs puantes de malheur, est-ce vrai ou faux? Ce qui est sûr, il est aux USA où il fait bon vivre, les hôpitaux donnent la vie, les grandes rues bien éclairées, aux abords de fast-foods où il peut se donner à cœur joie aux chawarmas, aux boissons chaudes. Il est parti lui.
Qu’est-ce qui se trame en Côte d’Ivoire?
Les autres doivent rester pour vivre les respirations suspectes. Dans les regards qui indiquent le loup et les pas ankylosés qui effraient le suivant et l’arrière. Oui, cette année 2020, tous les indicateurs sont au rouge, mais ils foncent quand-même.
La prudence démesurée et les colportassions qui viennent chercher des innocents, le pays sent la marquise. De la tête aux pieds, c’est de l’argile qui peut s’écrouler à tout moment. Ils ont encore le temps de façonner pour rendre crédible et durale le reste de cette vie inquiétante. Mais non, ils ne le feront pas ou jamais parce que les cris de douleur qui engendrent des cadavres tout le long des chaussées, est leur plus beau spectacle, mais alors, pourquoi sortir du pays ?
Si tout doit s’écrouler, ça sera sur leurs têtes. Alors fermez toutes les frontières, seules les armes doivent entrer ou sortir, parce qu’ils en auront besoin pour terminer, ce qu’ils ont commencé. La mort !
Pourquoi crier autant pour attirer les charognards ? Qu’est-ce qui doit se passer pour que toutes les ruches soient remuées et ces abeilles, iront où ? Non, tous les comploteurs doivent demeurer dans leur complot pour déguster les pures saveurs de leur inexorable envie de remplir leur coupe de champagne du sang des Humains.
Interdiction de bouger, octobre arrive. Il se signale comme un arc-en-ciel qui se promène avec le caméléon qui changera son teint pour prendre celui des autres pour se frayer son chemin. Pour une fois, oui, pour une fois, je partage cette décision qui doit s’étendre à l’ensemble de ceux de la case ronde, en passant par l’éléphant qui cherche à se baigner dans le rose pour draguer les autres sans étiquettes. Tout le monde doit rester pour compter les morts ou esquinter les vivants.
Interdiction de sortir qui doit aussi être valable pour le premier ivoirien…
Président Ouattara, si vous sortez aussi, rentrez plutôt pour ne pas que la porte se ferme sur les autres, car pour cette fois-ci, nous avons tous les yeux ouverts et chacun doit avoir son carnet ou son portable pour s’ériger en témoin du temps.
Personne ne bouge, n’est-ce pas ? OK ! Donc personne ne bougera ! Finissez d’abord les élections, pour voir s’il y aura des revenants ou des cadavres dans les placards. La fois dernière, personne n’était préparée, mais vous faites bien, d’ouvrir le robinet sitôt.
Salut le bonheur et adieu le chant des oiseaux de mauvais augure. Ouattara a parlé ! Et il va convaincre son témoin complice, la France devant encore des revenants blancs.
Joël ETTIEN
Directeur de publication : businessactuality.com
