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Côte d’Ivoire: La jeunesse ivoirienne est trop dans la joie.

Si la jeunesse ivoirienne ne prend pas la mesure de l’éloignement au développement de son pays, elle sera là pour juger les étrangers s’accaparer de toutes ses richesses.

C’est ahurissant le spectacle que la jeunesse ivoirienne offre aux visiteurs. Ils ne font rien et n’ont rien à faire et c’est eux qui se donnent des pauses avec des dizaines de bouteilles d’alcool sur leur table. Femmes comme garçons, les ivoiriens semblent détenir le record de la consommation d’alcool dans la sous-région.

Il y a dans quartiers comme Yopougon par exemple, où la joie, la plus excessive déborde. Dans un grand quartier qui fait la population d’un seul pays, à chaque coin de rue, si ce n’est des maquis, ce sont des restaurants qui distillent de la musique à un tel décibel, qu’on a cette impression que chacun marche avec la musique dans son esprit.

Pendant que l’étranger travaille et s’éloigne de cette joie débordante, les ivoiriens travaillent peu et consomment beaucoup. Ils s’étonnent que ces étrangers les débordent, mais non, celui qui travaille, n’a pas le temps de s’adonner à la joie comme font les ivoiriens. Aux abords des établissements scolaires et universitaires, il y a des petits maquis, des bistrots et voir devant ces élèves des dizaines de bouteilles d’alcool, à quel moment, rentreront-ils dans un laboratoire pour en sortir des merveilles ?

La jeunesse ivoirienne ne travaille pas et n’est pas encore consciente de son retard et de l’aubaine qu’elle offre aux autres de venir s’enrichir pour aller développer chez eux. Ils sont tous friands d’argent et ne veulent pas travailler et après, c’est pour aller prendre des crédits chez ces étrangers en hypothéquant des biens familiaux.

A Yopougon, du lundi au dimanche peu importe l’heure, il y a toujours la fête et la joie. Quand ils ne sont pas devant des casiers d’alcool, le peu d’argent, ils vont les donner aux pasteurs les dimanches dans les temples.

L’ivoirien ne travaille pas, pourtant il veut être riche, mais s’il ne travaille pas à quel moment la magie pourrait s’opérer ? Les jeux du hasard se multiplient et les ivoiriens sont pauvres dans leurs richesses naturelles.

Il faut que le gouvernement jette un regard sur ce poison qui mine la jeunesse ivoirienne, déjà que son éducation est bafouée, se donner à la consommation de l’alcool et à la prostitution, les étrangers trouveront ce pays comme leur eldorado.

Dans les coins et recoins de toutes les villes, ils ont installé des petits commerces et ces ivoiriens vont chez eux acheter leur quotidien, sans y impliquer et ces étrangers s’enrichissent et les ivoiriens s’appauvrissent.

L’étranger n’est pas un poids, ce sont les ivoiriens qui alourdissent leur vie, se tournant vers la joie sans cesse. La nature ayant horreur du vide, les ivoiriens passent à côté de leur bonheur et fuient leur bonheur.

C’est pourquoi le gouvernement doit être rigoureux à faire limiter ces bars, maquis et mettre une police spéciale à surveiller la consommation abusive de l’alcool qui place la Côte d’Ivoire parmi les nations les plus pauvres et corrompues. Un peuple qui ne travaille pas, pour survivre est obligé de s’adonner à tous les vices, c’est le cas de la Côte d’Ivoire.  Ces ivoiriens s’étonnent que les banques ne fassent pas confiance, mais s’ils n’ont aucune garantie et qu’ils sont si légers, comment les banques récupéreront leurs crédits si c’est pour aller finir dans la consommation de l’alcool et les fêtes abusives ?

Les soirs, c’est la désolation et la tristesse. Aux coins des rues, des femmes mariées, des petites filles de -12 ans et des garçons se prostituent parce que le quotidien n’attend pas. Les maladies rares d’autrefois, sont revenues à la mode et c’est la mort en cascade, AVC, tensions, etc. et la vie est à craindre. Il faut que le gouvernement fasse agir ses droits de protection et de régalien sinon, à cette allure, ce sont les autres qui, selon leurs intérêts, développeront la Côte d’Ivoire. Mais est ce qu’on peut développer un pays avec les enseignes commerciales ? Un étranger ne développe jamais un pays, il vient s’y enrichir par le commerce et non par des industries de transformation et ne crée pas d’emploi.

                                                               Joël ETTIEN

                  Directeur de publication : businessactuality.com

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