Côte d’Ivoire: La présence des djihadistes, doit inquiéter les ivoiriens.

               Attention, ivoiriens, les djihadistes sont présents sur le territoire

Le camp pénal de Bouaké qui abrite les redoutables bandits de la sous-région, connus comme des djihadistes, a essuyé une surprise par des hommes armés, positionnés sur tout le territoire ivoirien, faisant fuir les forces dites spéciales de Ouattara le lundi 7octobre 2019. C’est le signe de la présence de ces djihadistes sur le territoire ivoirien. En principe, ce sont pour plupart venus donner un coup de main à Ouattara pour son accession au pouvoir, souvent mal réénumérés qui se sont stationnés partout et qui n’attendent sa chute ou sa fin pour semer la terreur aux ivoiriens. Combien sont-ils ces ivoiriens, pour résister à cette invasion armée ? Les ivoiriens savent bien qu’ils partagent leur quotidien avec ces bandits de grand chemin mais pourquoi, ils ne font rien pour exiger leur départ, pendant qu’il est temps ? Ils sont sans cesse dans la joie, ces ivoiriens et pourtant, ceux qui sont dans ces maquis, restaurants et boites de nuit, sont justement, ces djihadistes qui observent à chaque instant, leurs faits et gestes, pour les anéantir au moment venu. Pour le moment, le président Ouattara, les contente sans doute par des billets de banque pour les calmer, mais jusqu’à quand ? Et quand, l’heure de tuer arrivera, ce n’est pas le ministre Hamed Bakayoko, ni Gon Coulibaly qui parviendront à les éradiquer. Le problème est grave. Il faut un nettoyage complet de ces bandits, dès maintenant sinon, ce qui arrive, sera dramatique qu’on néglige. Comment comprendre à chaque fois, ils prennent d’assaut, les lieux de détention pour libérer leurs « gars » et se retournent sans crainte ? Donc, s’ils arrivent à faire fuir les forces spéciales de Ouattara, à qui le président a délégué tous les moyens techniques de la sécurité du pays, autant remettre les armes arrachées aux forces de l’ordre gendarmes, policiers qui ont la charge de la vraie sécurité du pays. Cette crainte de penser qu’en remettant les armes aux forces de l’ordre ivoiriennes, se retourneront contre lui, est un faux calcul. Le tout ne se résume pas, à la sécurité personnelle du président de la république, mais à l’ensemble des ivoiriens qui sont envahis par ces djihadistes. Le pire est à craindre et inévitable, si le président de la république n’associe pas tous les ivoiriens à la vigilance. Joël ETTIEN Directeur de publication : businessactuality.com

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