population ivoirienne face à la santéA LA UNE AFRIQUE 

Côte d’Ivoire: quand la santé de la population ivoirienne balbutie et se retrouve entre les mains des mafieux, la mort est à leur porte.

La population ivoirienne, n’a t-elle pas elle aussi, le droit de vivre sain ?

La santé, un véritable problème pour la population ivoirienne

La politique de la santé est devenue et doit-être revue car elle un vrai poison pour la population ivoirienne. Depuis que M. Ouattara est au pouvoir, certains hommes d’affaires véreux ont érigé la Côte d’Ivoire qui n’est que le seul bien des ivoiriens en un dépotoir de poison.

Des étrangers se permettent d’installer des usines dites pharmaceutiques dans des maisons d’habitation qui, en réalité ne sont que des poisons. Est-ce à dire que leur logique d’homicide ou de la théorie du peuplement démographique du pays serait mise en marche? La santé à haut risque dans un pays qui se dit prospère et émergent.

Tout en saluant les efforts de la police, qui fait ce qu’elle peut pour traquer ces assassins, ce qui n’est pas une tâche facile. Ces hommes d’affaires, ne sont rien d’autres que des asiatiques avec la complicité de certains barons du pouvoir. Ils se servent de la porosité de ce pays, pour y faire des choses cruelles, qu’ils feront jamais chez eux.  

Que subit la population ivoirienne et qui en est l’auteur?

Pour accompagner la destruction de la population ivoirienne et le remplacer par d’autres peuples, ce qu’on appelle, la politique théorique du peuplement démographique.

On s’en souvient, qu’au plus fort de la crise post-électorale dans les années 2010, pendant que le président Gbagbo Laurent se battait contre tous, M. Ouattara avait fait bloquer un bateau de médicaments aux larges de Dakar et, des ivoiriens en sont morts par millier sans jamais donner les raisons d’un tel acte pour quelqu’un qui aspirait au pouvoir d’état et qui est au pouvoir. Pour le régime ivoirien, quelle définition donnée à la santé? En tout et pour tout, et sur tous les plans, M. Ouattara aurait commis des erreurs et dont certaines, sont très lourdes de conséquence. Aucune condamnation d’aucun leader politique face à ces drames qui sont devenus récurrents.

En Côte d’Ivoire, l’AVC tue plus que le SIDA. Ces médicaments qui ne respectent aucune norme pharmaceutique et consommés par la population ivoirienne, sont des crimes qui, logiquement, ses auteurs doivent répondre de leurs actes. La police en charge de traquer ces criminels, doit-être dotée de moyens efficaces, pour en arriver à effrayer, les futurs criminels.

Depuis une décennie, des ivoiriens meurent par des crises, jamais connues chez eux. A partir de jeudi, jusqu’à samedi, ce sont des levées de corps. Les entreprises mortuaires se font de l’argent sur le dos, des populations. La famine et la paupérisation sont devenues le lot d’une population exténuée qui paie pour son hospitalité.

Pourquoi autant de légèreté quand il s’agit de la vie des ivoiriens ?

Pourquoi, autoriser et permettre la vente des produits pharmaceutiques prohibés sur les voies publiques au détriment des vraies pharmacies ?

Le secrétaire général des pharmaciens de Côte d’Ivoire, n’arrête pas d’attirer l’attention du pouvoir, sur la dangerosité d’une telle pratique, qui met à mal leur profession. Cependant, il semble prêcher devant des murs et son cri de douleur atterrit dans un océan de désert. A quoi bon de faire autant d’études en pharmacie pour se retrouver dans une concurrence déloyale ? A qui profite tout ça ? Et pourquoi, c’est dans ce pays que toutes ces tentatives se font et à quel but ? M. Aka Ahoulé, ministre de la santé et expert dans les questions de la santé, doit savoir l’existence de ces assassins contre la santé de ses compatriotes et lutter inexorablement contre ce fléau.

Quand dans un pays, la santé n’est pas une priorité, c’est la porte ouverte à n’importe qui pour y faire n’importe quoi. Jusqu’à quand le régime, donnera de vrais gages d’assurance et de garantie à la population ivoirienne, qui ne sait où donner de la tête? Leur santé est aux enchères et coure des graves risques.

                                                                                 Joël ETTIEN    

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