Site icon Business & Actuality TV

Côte d’Ivoire : Savez-vous que « ADO » n’est pas seulement lié au président, mais aussi à Anne Désirée Ouloto?

Anne Désirée Ouloto, ministre ivoirienne

HKB veut dire Henri Konan Bédié. KKB, Kouadio Konan Bertin. ADO, Alassane Dramane Ouattara. ADM Ahoua Don Mello et on peut citer des milliers d’initiales pour faire des tonnes, mais alors, pourquoi Anne Désirée Ouloto (ADO) poserait de problèmes pour porter avec fierté ses initiales ?

Tout se distingue soit par snobisme et avec une élégance épanouie par le port de ses initiales, mais on constate que la dame de fer des 18 montagnes a sans doute peur de porter ou de promouvoir ses initiales, parce que son patron, et elle, ont les mêmes lettres? Non, bien au contraire, elle devrait en faire sa fierté comme si les deux icônes étaient des jumeaux. ADO, ce n’est pas Alassane Dramane Ouattara, d’ailleurs, il a fait supprimer le Dramane, donc, madame la ministre d’état devrait faire de ses initiales, le don éternel et divin pour attirer sur elle, les faveurs de cette vision et d’un tel don divin. Ainsi, quand cela nous revient d’entendre ADO, nous, on pense à Anne Désirée Ouloto et sans plus et c’est beau, de voir une dame, porter ce trio nominal ADO, c’est magnifique.

D’ailleurs, nous reconnaissons en elle, une femme qui bataille fort pour réussir ses différents challenges, tant professionnels que politiques? Récemment, elle a rendu un grand hommage à son mentor qui la détermine à avoir la palme d’or au regard de ce que les autres ont fait dans leur région. Le sourire qui arbore son visage souvent garçonnet et féminin à la fois, on ne sait pas ce qui la rend revigorante, mais quand elle veut quelque chose, elle se donne les moyens pour atteindre ses buts. De loin, on la regarde avec envie et de près, à cause de sa hargne au travail, on a peur de l’approcher, même si, elle ne peut pas faire l’unanimité, nous reconnaissons en elle, une femme qu’il travaille et qui prend tout au sérieux.

Dans la vie, quand on marche, on laisse des traces dit l’adage et elle en laisse plein sur son chemin. Aujourd’hui, elle a réussi à apporter une touche spéciale à la fonction publique qui était devenue comme un foutoir, le creuset qui recevait tout et n’importe quoi. Il faut donner à César, ce qui lui revient, la dame travaille et elle est animée d’un courage à affronter tellement d’enjeux, qu’on peut lui faire confiance et ce n’est pas parce qu’elle est femme, qu’on ne doit pas reconnaître ses atouts et ses mérites. 

On nous dira ce qu’elle nous a donnés pour qu’on la suive de près, mais nous recherchons des femmes qui peuvent propulser les autres femmes hésitantes à se prendre en charge et assumer des responsabilités à tous égards, donc, un modèle, une référence car le pays en a grand besoin,  on ne peut pas vivre dans un pays et promouvoir uniquement la médiocrité. S’il y a des exemples à étayer pour amorcer l’excellence, pourquoi s’en priver? La dame ADO, entendez par Anne Désirée Ouloto, mérite qu’on la suive de près car elle a de l’avenir qui promet. C’est juste un constat, ne nous en voulez pas, on n’a aucun contact physique avec elle.

                                  Joël  ETTIEN  

  Directeur de publication : businessactuality.com

Quitter la version mobile