Crise Russie-Ukraine: Les présidents africains sont informés de la famine.

Les africains sont informés des conséquences alimentaires dues à la crise entre la Russie et l’Ukraine. Cependant, les présidents africains ne vont rien faire pour anticiper et c’est quand le danger sera à leurs portes qu’ils vont crier au loup.

Guerre en Ukraine

Dans la gestion de la crise sanitaire à Coronavirus, aucun pays africain n’a eu la présence d’idée de mettre ses spécialistes, ses laboratoires à contribution, si ce n’est d’appliquer les consignes venant de Paris.

Tout le monde sait que la France va à des élections qui inclues le président sortant, Macron, qui sera obligé d’alléger les contraintes et du coup, tous les présidents africains vont faire pareil, même si le virus persiste chez eux.

Ils ont provoqué leur guerre contre Poutine. Ils vont encore obliger les africains à en subir les conséquences. En Côte d’Ivoire, où il y a tout ce que les ivoiriens doivent consommer, il faut que le président Ouattara prenne ses responsabilités pour mettre ses chercheurs à contribution. Ces conséquences en question, c’est le blé. Ici en Côte d’Ivoire, les plus gros mangeurs de pain sont les musulmans, sinon, pour le reste, leur attiéké suffira à tenir la journée.

C’est pourquoi, avec le mélange du maïs et du manioc, les ivoiriens n’auront même plus besoin de leur blé pour se nourrir en pain. Déjà, le pain que les ivoiriens consomment et qui est d’une extraordinaire qualité, c’est un mélange de blé et de la poudre de manioc. Pour supprimer le blé, il faut encourager à partir de maintenant la culture du maïs pour remplacer le blé et le tour est joué.

C’est en période de guerre et de différents conflits qui impactent la vie des populations que les présidents sortent les grandes décisions et c’est le moment. On apprend que le président ivoirien Ouattara a pris la décision de ne plus exporter les produits alimentaires ivoiriens vers d’autres pays, c’est bien, et nous rappelons que le seul grenier ivoirien peut nourrir la sous-région.

Alors pour une fois que ces présidents sont prévenus, qu’ils prennent leurs responsabilités pour anticiper que de recevoir en pleine face ces conséquences alimentaires.                                               

 Joël ETTIEN
        Directeur de publication: businessactuality.com