Adjoumani au salon de l'agricultureA LA UNE MONDE 

France/Salon de l’agriculture: quand le ministre Adjoumani, confond Abidjan à Paris

 Le ministre ivoirien de l’agriculture, Adjoumani a oublié que Paris, n’est pas Abidjan

A quoi pensait le ministre Adjoumani?

Les lignes bougent et bravo à la brigade d’intervention rapide africaine sur les manquements démocratiques en Afrique. Lors de son entrée dans le salon de l’agriculture, le ministre Adjoumani a essuyé une interpellation et son manque de maîtrise ou la peur, se sont emballées de lui et il a confondu le lieu où il se trouvait quand, l’action s’est produite.

Il faut rappeler aux autorités africaines qu’il y a désormais, une brigade africaine dans les pays pour les interpeller sur leurs forfaitures, gabegies, détournements de deniers publics, les arrestations arbitraires, les emprisonnements à tour de bras pour si peu, qu’on ne partage pas leurs opinions, etc…

La France n’est pas un pays qui brime, sinon, les gilets jaunes et les syndicats, n’allaient pas occuper les rues tous les week-ends pour exprimer leur ras-bol à la politique de leur président qui laisse faire, parce que cela est un droit sacré.

La même scène venait de se produire dans le même salon, quand un camerounais venait d’interpeller, le président Macron qui, en dépit de ses gardes, n’a pas donné instruction à mettre aux arrêts, notre compatriote camerounais, bien au contraire, il s’est approché de lui et les deux, ont échangé. Voilà, ce qu’on appelle, une démocratie. Mais lui Adjoumani, il est qui, pour donner des instructions pour arracher le téléphone portable de l’ivoirien qui lui livrait, un message à l’endroit de son président Ouattara ?

Paris n’est pas Abidjan

Paris, ce n’est pas Abidjan et la France n’est pas la Côte d’Ivoire. Pourquoi, tout calmement, il ne s’était pas rapproché de son compatriote ivoirien, pour que les deux échangent que de vouloir appliquer encore en terre françaises, leur dictature ?

Ce qui s’est passé n’est qu’un signal pour le président Ouattara qui est très attendu par les agents de cette brigade africaine d’intervention rapide. Que toutes les autorités africaines sans exception se mettent bien dans la tête que la détermination de la jeunesse de vouloir, elle-même prendre ses responsabilités pour la défense de ses intérêts, a commencé et personne ne sera épargnée.

Cette brigade attend patiemment, une autre occasion pour interpeller le président Macron sur ce qui se passe en Côte d’Ivoire et tout le monde attend, la réponse de ce dernier.

Alors, que les services de communication des autorités africaines, leur apprennent les notions élémentaires des droits de l’Homme et du citoyen. Désormais, si elles sont confrontées à ces genres de situation, inutile de paniquer, qu’elles s’approchent pour échanger, c’est le contraire qui est dangereux.

M. Affi N’guessan a été poudré à Paris et la police n’a rien pu faire, parce qu’elle estime que c’est la manière à ces femmes qui ont commis l’acte, d’exprimer leur liberté d’agir. Un fourgon transportant des mallettes d’argent a été dévoilé par des ivoiriens, sur le boulevard Victor Hugo, non loin des bureaux de madame Ouattara, l’affaire n’est pas allée quelque part. Des ministres congolais, gabonais ont été frappés toujours à Paris, ce n’est pas allé quelque part. Le président Paul a été plusieurs conspué devant des hôpitaux et grands hôtels, affaire classée sans suite et je ne pense pas que la France sanctionnera des africains pour la liberté d’expression. Ce n’est que le début du commencement !

                                                                                       Joël ETTIEN

                        Directeur de publication : businessactuality.com

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