Gestion du coronavirus en Afrique: Si l’Afrique a été épargnée, c’est à cause de sa jeunesse et non par des prières miraculeuses.
Si l’Afrique a été épargnée par la propagation du virus du corona, ce n’est pas le fait d’un miracle divin, mais parce que sa population est encore très jeune.
L’Afrique épargnée d’une hécatombe
Il ne faut pas que les pasteurs et autres guides religieux fassent croire à leurs fidèles que si l’Afrique a été en grande épargnée par le coronavirus, c’est du fait de l’efficacité de leurs prières qui seraient montées à Dieu, qui aurait été une protection.
Si l’Afrique n’a pas été atteinte comme le voulaient certaines organisations internationales dont le l’OMS, c’est dû simplement à la démographie très jeune en Afrique car, dans ce continent, les gens meurent à l’âge de 50 à 60 ans et ceux qui restent sont tous jeunes à partir de 0 à 5O ans, avec un système immunitaire résistant.
En Afrique, il n’y a pas d’asiles des personnes âgées comme cela se passe dans les pays développés où on parque les vieux (personnes âgées) dont l’âge oscille entre 60 à 100 ans dans des camps de traitement et de surveillance. En Afrique, un adage qualifie et étaye : « un vieillard qui meurt, est une bibliothèque qui brûle) dont faisant partie des ressources rares qu’on n’exclue pas des familles comme dans les pays développés. Ces personnes qui n’ont plus de résistance dans leur système immunitaire qui sont très fragiles, exposés en proie facile par le virus, c’est dans ces pays-là, où les victimes se comptaient et continuent de payer le lourd tribut.
Alors faire croire que c’est Dieu qui est fâché et qui aurait déversé ce virus comme étant une punition, une malédiction ce n’est pas vrai. D’abord, c’est un virus qui a échappé à des laboratoires et qui se propage dans le monde, donc scientifique et non spirituel qui n’a rien à voir avec la croyance.
Si l’Afrique a été éloignée de ses effets mortuaires, c’est la population jeune qui l’a protégée jusque-là. Donc, vouloir aller faire tester sur les africains d’un vaccin contre ce virus, serait contraindre les jeunes à mourir par ce vaccin, qui tuerait la force de leur système immunitaire et les exposer à la mort volontaire, pour contraindre les présidents africains à acheter leur vaccin.
C’est pourquoi, aucun président africain ne doit en aucun cas, accepter que des laboratoires viennent essayer le vaccin sur ces jeunes africains, c’est comme remplir ce qui est déjà plein.
S’il y a des gens sur lesquelles on doit le tester si toutefois, ce vaccin venait à voir le jour, ça sera logiquement sur les populations vieillissantes qui est une proie du virus. C’est pour tout cela que les africains ne doivent pas frémir à l’idée qu’un test contre le virus serait effectué sur les jeunes.
En outre, le président malgache M. Andry Rajoelina a trouvé des remèdes contre ce virus avec sa tisane qui renforce le système immunitaire dont la jeunesse africaine en a dans son corps, mais à titre préventif, il faut le consommer que si seulement si, on sent les symptômes.
Donc, aucun chef africain ne doit venir frémir devant les responsables européens mais veiller sur leur population jeune qui a besoin de perspectives crédibles et d’assurance pour leur avenir.
Joël ETTIEN
Directeur de publication : businessactuality.com
