confirmation de l'élection de Umaro EmbaloA LA UNE AFRIQUE 

Guinée-Bissau: Et la nouvelle vie imprimée par le président Cissoco Embalo, donne du sourire.

 La vie renaît en Guinée-Bissau comme une pluie qui tombe dans une végétation qui manque d’eau nourricière depuis des lustres et salut au président Cissoco Embalo.

Le président Cissoco Embalo redonne vie à la Guinée-Bissau

Comme dans une zone végétative en manque d’eau pour nourrir les arbres et autres habitants de cette zone, les feuilles ont commencé à jaunir et les branches étaient en manque et c’était la sécheresse. On y a tout fait pour déclencher la pluie de tomber, mais les prières n’étant pas sincères, le miracle tardait. L’ordonnateur des pluies avait bouché les canaux de la Guinée Bissau.

Aucune incantation, ne produit de miracles quand survint le jeune président Cissoco Embalo. Comme un messie, il fut son apparition dans la politique. Comme personne ne peut-être prophète chez soi, ses propres parents ont commencé à le combattre. Puis vint la communauté internationale, au nombre desquels, la France qui avec ses médias, avait pris position pour empêcher le messie de clore.

Comme tout ce que vient du créateur, tient quelque soit, sa victoire a fini par convaincre la CEDEAO qui s’affaiblie au fur et à mesure qu’un pays africain organise son élection, il met à nues les forces de persuasion de cet organisme. C’est ainsi que le président Youssouf Mahamadou du Niger prit son courage à deux mains pour dire stop, la Guinée Bissau ne mérite pas ce traitement qu’on force à l’infliger, libérons-la.

Une nouvelle ère pour la Guinée-Bissau

Les zones d’ombre qui empêchaient les gros nuages qui se transforment en pluie, se dilatèrent et le sourire gagne le visage des bissau-guinéens. C’est ainsi qu’à la surprise de tous, le président Embalo vient de payer un mois de salaire à tous les fonctionnaires. Je rappelle que ceux-ci ne sont pas payés depuis des lustres et ce n’est pas la faute au président fraîchement élu, mais celle de ses prédécesseurs qui ont préféré se remplir les poches que de s’occuper du bien-être de leurs compatriotes.

Ainsi, ces arbres et autres habitants de la végétation, commencent à bourgeonner et la nature en Guinée-Bissau a commencé à verdir. On y annonce dans les mois à venir, de très bonnes nouvelles et aucun média français n’en parle.

Oui, tout commence à aller en Guinée-Bissau, il faut en parler et cela par la force du président Cissoco Embalo qui a su résister à la force destructive du mal et ce mal, c’est bien le camp du perdant, M. Simoes Pereira. Maintenant que l’origine du mal est su, pour y appliquer les remèdes, c’est simple, c’est l’harmonie, l’entente, le soutien aux actions du président.

Comment être fier d’être connus comme des faiseurs de coups d’état pour un jeune pays qui n’a même pas plus de 2 millions d’habitants ? Non, il faut désormais quitter cette obscurité pour se hisser au rang des pays qui voient la lumière pour actionner leur développement.

Il n’y a pas de honte à reconnaître ses erreurs quand il s’agit d’un pays, mais qu’on le reconnaisse ou pas, les guinéens ont le sourire et leur vie va s’améliorer. On ne vit pas pour les autres mais pour soi-même et c’est que fait le président Embalo et il faut le soutenir ou le laisser travailler.

                                                                              Joël ETTIEN

                  Directeur de publication : businessactuality.com    

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