Balthazar Egonga est acquitté par la justice de son paysA LA UNE AFRIQUE 

Guinée-Equatoriale: Balthazar est acquitté.

Affaire Baltazar, les choses se précisent et l’homme sexuel de l’année est blanchi et les femmes risquent même de le dédommager. En effet, la cour suprême de la Guinée-Equatoriale vient de statuer sur le cas Balthazar Engonga et a déclaré celui-ci innocent suite à la fuite de plus de 400 vidéos sexuelles sur le net.

Le tribunal de son pays est convaincu que toutes les femmes qui ont eu des relations sexuelles avec lui, sont des adultes, ayant pris leurs propres décisions, tandis que les tests ont montré que Balthazar n’a infecté aucune d’elle de maladies sexuellement transmissibles. Le tribunal a également expliqué que d’autres parts, de nombreux hommes qui étaient les maris de ces femmes ont remercié Balthazar de les avoir aidés à découvrir l’infidélité de leurs épouses et beaucoup ont décidé de demander le divorce. Du côté de Balthazar, il a déclaré qu’il intentait une action en justice contre ceux qui ont divulgué ses vidéos, affirmant qu’ils avaient envahi sa vie privée et exposé sa femme et sa famille.

En voilà, la vérité qui en résulte de cette affaire qui a fait et continue de faire grand bruit, des étonnements et beaucoup de femmes rêvent d’avoir ce grand homme aux savoir érotique et leur donner d’intenses plaisirs à partir de ses prouesses physiques. La justice de son pays a rendu son verdict. Même si l’image de l’acteur érotique s’en trouve ternie, il ne faut pas le blâmer car, ces femmes issues de divers mariages étaient consentes et quand ils se faisaient filmer, ils ne savaient pas qu’un jour, leur intimité sera diffusée sur les réseaux sociaux. Il est donc clairement situé que peu importe le statut de la femme, à partir du moment où elle accepte de se mettre à poils devant un homme qui n’est pas son mari avec sourir, elle adhère à ces frasques et s’il y a condamnation, ce n’est pas à l’homme d’assumer le discrédit. 

Beaucoup de femmes mariées se sont prononcées sur le sujet. Leurs hommes ne leur font pas l’amour comme il se devait après le mariage et comme elles ne veulent pas divorcer parce qu’elles servent de décor, elles ne ratent pas d’occasions pour s’en voler avec celui qui pourrait leur donner du plaisir intense.

La moralité de ce fait qui a suscité de l’émoi dans la société, on entre dans une chambre que quand la porte est ouverte et quand il n’y a pas de violence, ce n’est pas à l’homme d’endosser la plus grosse responsabilité et le tort revient aux femmes qui trouvent en ce dernier les délices sexuels. Qui doit assumer le préjudice? Nous vous laissons ce débat, mais Balthazar est acquitté et les maris des femmes passés à sa casserole, ont décidé de divorcer que de lui tenter un autre procès. L’affaire est close.

                                 Joël ETTIEN    

 Directeur de publication : businessactuality.com

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