Le ministre ivoirien de la santé Pierre Dimba rassure les malades du SIDA.
Depuis que les USA ont pris la décision d’arrêter de financer certaines ONG, l’Afrique semble désemparée et déjà en Côte d’Ivoire, des voix s’élèvent au niveau de la santé que le pire risque de se produire surtout pour les contaminés du VIH. Alors, est-ce que le ministre ivoirien de la santé Pierre Dimba pourra relever tous ces nouveaux défis ?
Le président Trump a décidé de mettre fin à la cotisation de son pays pour les ONG devenues trop obsolètes, aux relents terroristes et du coup, les conséquences se font sentir dans certains pays africains. Voilà une des conséquences de la main tendue trop tendue vers les autres. L’Afrique a toujours fonctionné comme une mendiante professionnelle vers l’extérieur et dès que celui-ci est englué dans des difficultés économiques et financières, elle a la diarrhée. Mais en Côte d’Ivoire, le cri d’alarme de ceux qui s’occupent des malades atteints du sida, est entendu par le ministre de tutelle qui, juste après l’annonce de ce retrait, à pris des dispositions palliatives. Ainsi, au niveau du coeur de ce ministère clé du gouvernement ivoirien, Pierre Bimba, le ministre en charge de la santé ne s’est pas fait surprendre et les moyens sont en train d’être mis en place et la peur du pire, ne doit pas s’emballer des organisations luttant en Côte d’Ivoire contre le VIH SIDA. Les moyens sont déjà là qui atterriront dans les caisses de ceux qui s’occupent de ces malades du sida dont le coronavirus a failli les faire oublier.
Dans ces cas de figure, on fait des allègements et c’est ce qu’il est en train de faire avec ses services dans ce domaine et donc, la peur doit changer de camp. Il sait aussi, l’âme ministre Pierre Bimba que la période est trop sensible pour regarder ailleurs pendant que les malades crèvent dans les centres, eh bien, non ce que nous avons voulu savoir et qu’on a su, il a pris la mesure de ces décisions drastiques. Pierre Ngou Bimba, se montre comme un de ceux dans l’entourage du président ivoirien Alassane Ouattara qui se dit, qu’il ne faut céder au désespoir. Il fait du mieux qu’il peut pour se rapprocher des réalités et trouver des solutions. Si l’aide extérieure a tari, il faut se tourner vers sa propre caisse et les malades du sida, ne doivent rien craindre, les moyens seront trouvés pour continuer leurs différents traitements onéreux.
C’est un vrai veilleur sur le fonctionnement de son ministère qui constitue la cheville ouvrière du gouvernement, il en est consciencieux, selon ses prises de décisions rapides et palliatives.
Selon ce que nous avons obtenu comme assurance qui n’a rien de politique mais du concret, le ministre ivoirien de la santé est à l’écoute et prompt à tout car la santé n’a pas de prix, nous fait dire.
Joël ETTIEN
Directeur de publication : businessactuality.com