Culture du riz en Côte d'IvoireINVESTIGATION 

Production alimentaire: La Côte d’Ivoire seule peut se nourrir.

Plus de 450 milliards de francs dépensés pour l’achat du riz à l’extérieur, surtout en Chine, nous trouvons qu’on peut faire mieux en terre ivoirienne avec la moitié. Le budget annuel dans l’achat du riz seulement que l’État de Côte d’Ivoire dépense, s’élève à plus de 450 milliards. Voilà que les puissances occidentales informent tous les états du monde qu’il y va avoir une infamie, un manque de nourritures dans les mois à venir. Alors, nous voudrions faire les suggestions suivantes au gouvernement ivoirien.

Il faut changer de stratégies alimentaires en Côte d’Ivoire

D’abord, dépenser autant de milliards dans le riz venant de l’extérieur, c’est trop. C’est pourquoi, la Côte d’Ivoire étant un pays béni et arrosé toute l’année, nous demandons à l’état ivoirien de diviser en deux et d’investir cet argent dans la production locale du riz. Il y a trop de forêts et de basfonds qui bien exploités, peuvent combler cette fortune envoyée délibérément aux grands groupes.

Il y a en Côte d’Ivoire trop de docteurs en ceci, en cela, des ingénieurs qui tournent le pouce, pourquoi ne pas procéder par un appel national et mettre à contribution tous ces chômeurs afin de palier à ce manque au regard de la prévention de la grande famine provoquée par les occidentaux en allant à une guerre dont ils savent qu’elle est perdue d’avance ?

Cet appel pour dire à tous les pays du monde de manger ou consommer local, en la matière, la Côte d’Ivoire ne peut pas du tout souffrir ni recevoir de leçons de morale. Avec simplement un peu d’imagination, en mettant à contribution les services compétents formés par l’État qui ne font rien, les ivoiriens peuvent se nourrir en riz de qualité et seraient à l’abri des produits importés souvent avariés ou toxiques. Il n’est pas tard de faire appel à la jeunesse pour l’inciter à prendre en main le destin alimentaire national en la finançant par la moitié de ces milliards qui partent dans les caisses des multinationales.

Autant les ivoiriens peuvent produire le riz, ils peuvent aussi produire les autres aliments de grande consommation. Il pleut tout le temps en Côte d’Ivoire, c’est pour que ces gouttes d’eau servent à nourrir les populations. Ainsi donc, il faut que l’État ivoirien prenne cette volonté politique majeure. C’est imminent et urgent. Les guerriers ont lancé l’alerte, il faut anticiper.

Joël ETTIEN
            Directeur de publication: businessactuality.com

Related posts

Leave a Comment