Le racisme à visage découvert à Paris, suite à l’interpellation très musclée d’une femme noire enceinte par des policiers de la SNCF, indigne des regards et doivent encore interpelés, le gouvernement Macron et les chefs d’état africains francophones.
Le racisme continue à Paris
Apparemment, cette dame serait porteuse d’une grossesse, laquelle hurlait de douleur quand les forces de l’ordre l’ont terrassée avec une telle violence de braquage comme si elle détenait une arme à feu.
La scène s’est produite le mardi 16 juin 20, dans une vidéo, montrant une pauvre dame noire, brutalisée par plus de quatre policiers, à Aulnay-Sous-Bois, une banlieue proche de Paris.
La raison invoquée qui ne nécessitait pas une telle hargne, serait que les hommes de la police ferroviaire semblaient dire à la dame d’évacuer les lieux et c’est face à son refus, qu’ils auraient agi, en la plaquant violemment au sol pour lui mettre les menottes. Auraient-ils pratiqué une telle férocité à l’égard d’une femme blanche enceinte ? Nous connaissons tous la réponse, que non, pour parce qu’elle serait blanche.
Son mari présent sur les lieux, demandait aux agents de la lâcher car elle était enceinte, mais c’est mal connaitre les policiers qui redoublaient d’ardeur dans leur sale besogne. Comme pour compléter leur sale boulot, ce dernier s’est retrouvé lui aussi, à terre entre trois policiers, tout en les suppliant de laisser sa femme qui porte sa première grossesse.
A l’affût du monde, les policiers ont été obligés de faire usage de gaz pour les disperser et libérer l’espace.
Cette situation risque fort de contribuer au clivage entre les forces de l’ordre et les noirs qui ne font que subir, ces actes racistes. On se rappelle de ce qui se passe en ce moment aux USA où les noirs sont devenus de cibles faciles à abattre par les policiers blancs.
Quand la couleur de la peau noire devient un handicap meurtrier et suicidaire au pays des français qui, pourtant ont pratiqué la colonisation, qui pillent toutes les ressources naturelles de l’Afrique et qui participent au désordre sociopolitique dans ces pays africains francophones.
L’acte a été filmé et projeté sur les réseaux sociaux. Pour l’heure, nous ne savons pas dans quel commissariat, la pauvre et son mari, les deux menottés, ont été déportés et nous aimerions aussi, savoir l’état de santé de la dame par rapport à sa grossesse. Et ça continue, mais jusqu’à quand, la fin de ces actes racistes ? Il appartient aux chefs d’état africains, de se prendre position au regard de toutes ces maltraitances que leurs compatriotes subissent en France à cause de la couleur de leur peau : NOIRE.
Joël ETTIEN
Directeur de publication : businessactuality.com