Ibrahim Traoré, casse les mythesA LA UNE AFRIQUE 

Burkina Faso: Le président Ibrahim Traoré prévient qu’il est prêt à faire la guerre.

En réceptionnant des équipements militaires de guerre, le président burkinabè a dit que pour éviter les prédateurs, il faut faire la guerre et quand on voit le nombre impressionnant de son arsenal de guerre, on se demande contre qui, cette guerre sera livrée, mais connaisseur connait.

Si c’est uniquement contre les terroristes, il a déjà gagné le pari, mais continuer de s’équiper de cette façon, il faut désormais craindre ce pays qui serait prêt à tout éventualité de guerre et surtout gare à ceux de leurs voisins qui serviraient de base arrière pour vouloir déstabiliser son pays et par dévers, tout l’AES.

Un homme averti en vaut deux, dit l’adage. Et le président Ibrahim Traoré, le disant, ne plaisante pas et quiconque tenterait, le trouvera sur son chemin. Quand il s’agit des africains noirs, on laisse faire alors que chez eux en Europe, on ne peut jamais admettre que des individus se permettent de former sur un sol étranger, des gouvernements parallèles, en vue d’aller commettre des assassinats. Il y a des maliens de la diaspora qui ont formé un gouvernement parallèle à celui qui gouverne actuellement le Mali, ce qui ne peut jamais se produire dans aucun pays au monde.

Comme, la seule alternative actuellement, c’est comment récupérer les pays africains du Sahel qui compliquent le calcul de la France, elle actionne tout, mais voilà, un avertissement que vient de lancer le président Ibrahim Traoré qui prévient tout pays impliqué dans une déstabilisation. Aujourd’hui, ces trois pays surtout le Burkina sont tellement mieux équipés militairement que quiconque essaie de vouloir les déstabiliser, aura ses yeux pour pleurer, donc, malintentionnés, passez plus tard.

On ne prévient pas la guerre, on se prépare à la recevoir et quand on est équipé comme il l’est aujourd’hui, la France qui veut absolument se venger et prête à séduire les voisins de l’AES sont avertis et qu’ils sachent que ceux-là, ne dorment pas en matière de renseignements et d’infiltration. Ils ont d’ailleurs réussi à infliger tous leurs voisins suspects et donc, quand le président du Burkina parle, il sait qui, il indexe.   

Nous allons dans leur sens pour dire que, quand un chef demande ou prie pour que la guerre arrive, il faut prendre très au sérieux son avertissement. Ce qui est sûr, il n’est pas prêt à lâcher les baskets aux terroristes et si, à tout hasard, ça arrivait, il serait sans pitié et salut les dégâts.

                               Joël ETTIEN

      Directeur de publication: businessactuality.com

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