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France-Afrique: Le mort qui refuse le cimetière.

La France-afrique, ce cadavre qui refuse le cimetière et pourtant il doit y aller. Les africains ont compris où se trouvent leurs intérêts et voulant les reprendre ou les reconquérir, cela s’apparente à un crime contre l’humanité. Pour leur propre bonheur, ils ne doivent rien revendiquer?

Depuis la nuit des temps et dans l’antichambre du pouvoir français, une cellule contre le bonheur des africains a vu le jour et qu’on appelle: « la France-Afrique » qui a fait des ravages et beaucoup de dégâts. L’on la croyait invincible et éternelle, mais voilà que l’heure de la proclamation de son décès a été constatée, mais qui refuse d’aller au cimetière, mais, dites-moi, quel cadavre décide de son sort?

Il se trouve des africains qui ne croient pas à ce décès et qui s’attachent encore à ce croc-mort. La France-Afrique, c’est fini, chers lecteurs et refuser d’y croire, c’est se faire de la torture inutile. Qui vendait chère la peau des dirigeants de l’AES? Pourtant, ils sont encore là et bien là.

Les africains qui adorent faire leurs funérailles grandioses et qui ne croient pas à la mort de la France-Afrique, doivent se réveiller pour se cotiser à engranger de la fortune pour organiser ses obsèques. Un cadavre ne décide rien et subit. Alors, nous informons et rassurons les dubitatifs que la France-Afrique est morte et d’aider Macron à s’en débarrasser pour éviter de respirer l’odeur nauséabonde de sa dépouille.

Le franc CFA est dans le coma et ce n’est pas si évident qu’il s’en sorte. Son pronostic vital est bien avancé et étant le cœur de cette chose de la France-Afrique, on va lui débrancher sous peu, les perfusions pour lui permettre de rejoindre l’au-delà car il est très attendu par ses fondateurs. La présence de l’armée française qui assurait non seulement la sécurité des laquais, les esclaves du salon, n’a plus longue vie et on nous annonce aussi, qu’elle s’apprêterait à rejoindre les casernes en terre française car si elle encore là, c’est parce que le pouvoir français ne sait plus où les mettre puisqu’il n’a pas songé un seul instant, que les yeux des africains s’ouvriront pour demander leur départ. C’est celui qui porte son bagage qui en connaît le poids et les africains sont fatigués de ces bagages.

La France-Afrique est morte, il faut faire le deuil et passer à son héritier qui ne sera plus en terre française ou mystifiée dans des antichambres lugubres, mais l’Afrique n’en veut plus et lui fait ses adieux, mais admettez qu’elle soit inhumée au lieu de laisser sa dépouille pourrir pour partir tranquillement rejoindre ses fondateurs.

C’est vrai qu’il y a encore des nostalgiques, des chefs d’état qui croient encore à la longévité pour faire plaisir et à qui, profite ce truc et qui croient mordicus que le simple fait d’annoncer sa mort, leur sera préjudiciable, le temps de la rupture et de la séparation a sonné. S’ils croient être les plus gros perdants, à l’impossible, nul n’est tenu. Elle a fait trop de grabuge, de morts, d’assassinats. Elle a les mains trop souillées, il faut qu’elle s’en aille car de toutes les façons, les africains n’en veulent plus. Ceux qui se sont enrichis dans la monnaie du colon, de l’impérialiste et surtout du négrier, qu’ils ne craignent rien, la France est là, pour leur trouver des points de chute et de dépôt. Adieu France-Afrique et que la terre te soit légère, mais on ne sait pas sous quelle terre, tu seras inhumée puisqu’aucun africain n’en veut? Dommage et triste, tout a une fin.

                              Joël ETTIEN  

   Directeur de publication : businessactuality.com

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