Le cas Côte d’Ivoire: Comment comprendre les différentes crises politiques en Afrique? (TOME 1)
Nous avons cherché des témoignages édifiants pour nous éclairer sur les différentes crises politiques qui démembrent l’Afrique dans son essor de développement.
En nous servant des témoignages des africains, on nous taxerait de partisans. Nous venons d’en avoir et compte tenu de la longueur de son écrit, nous allons vous le proposer en 3 tomes.
Un illuminati, membre de la secte d’Alassane Ouattara parle enfin!
Je ne vous déclinerai pas mon identité, juste un pseudo et vous savez pourquoi. Mais le plus important est ce qui va suivre.
Les Africains, particulièrement les Ivoiriens, puis les Libyens ignorent le fond de leurs malheurs. Oui ce qu’ils subissent ne datent pas de maintenant comme vous vous en doutez. Ceux qui ont tiré les ficelles des crises en Afrique et ailleurs ont tout planifié en attendant le faux pas des leaders comme Laurent Gbagbo et Mouamar Khadaffi.
Nous allons ensemble survoler le cas des libyens mais aller en profondeur sur le cas ivoirien. La société de la haute finance ( dirigée et contrôlée par les hommes gris/illuminatis) dont je faisais partie a une règle simple: l’argent et encore gagner de l’argent… Concernant le plan des illuminatis (dont font partie le CFR, la commission trilatérale, le mouvement Skrull & Bones, les francs-maçons, la rose croix, etc.), le choix qui s’est porté dans les années 1970 sur Alassane Ouattara depuis qu’il était étudiant en Pennsylvanie aux Etats-Unis avait pour but de remplacer Houphouët Boigny lorsque celui-ci serait vieillissant ou mourant.
Nous avons à travers François Mitterrand poussé la création du multipartisme dans l’Afrique francophone. Objectif: préparé 18 ans plutôt, afin de remodeler l’espace politique africain. Nos experts ont déduit que l’application du multipartisme nous permettrait de remplacer la vieille garde politique par une nouvelle.
Pour y arriver, il fallait faire chuter les coûts mondiaux du cacao et d’autres matières premières.Ceci pour créer une crise économique et provoquer la colère populaire, pour finalement aboutir au pluralisme d’opinions qui fragiliserait les présidents d’alors, qui, étaient adulés et respectés comme Houphouët Boigny.
La haute finance n’a pas d’état d’âme. Notre système couvrait les dérapages et crimes de ce dernier (Houphouët Boigny) tant qu’il nous était utile et en bonne santé. Mais ce dernier ayant découvert trop tard la manœuvre, a tout fait pour ne pas permettre à Alassane Ouattara d’être au pouvoir. Il a modifié la constitution afin de permettre à Henri Konan Bédié de venir aux affaires, bien qu’il soit mal aimé de la population qui voyait en lui un héritier dynastique.
Cette situation d’antipathie d’une bonne partie du peuple nous donnait le temps de préparer la chute de Bédié qui s’est avéré un homme faible. Il nous fallait jouer sur la fibre ethnique et religieuse pour placer Ouattara au pouvoir quelque soit celui qui était en face. Créer subtilement le RDR et en faire un parti ethnique avec des militants peu instruits ou analphabètes a été d’une aisance modèle, car plus faciles à manipuler. Nous y reviendrons plus loin.
Ouattara étant présenté comme victime par nos médias (CFI, TV5, RFI…), il devint facile de manipuler les militaires ivoiriens du nord tel Ibrahim Coulibaly dit « IB », Issiaka Ouattara, Oumar Diarrassouba etc. Objectif: saisir une situation et créer un mouvement de révolte, placer un homme lige pour transition et aboutir à une élection truquée comme plus tard en Novembre 2010.
3A.N