Réseaux sociaux en période des électionsA LA UNE AFRIQUE 

Quand les réseaux sociaux servent de dépravation aux femmes noires.

L’utilisation abusive des réseaux sociaux par les femmes noires africaines exaspère la vue et à force de montrer leur nudité, pour se vendre aux plus offrants, mérite notre attention.

Pendant que les autres femmes des autres continents font de l’utilisation des réseaux sociaux, un instrument de savoir, de savoir, les femmes noires s’y galvaudent. Si ce ne sont pas leurs fesses rondes et bombées qui tournent des comme des pneus de voiture en vitesse, ce sont leur poitrine avec leurs seins dont certains sont pointus, gros à vous fendre le visage et suivis de langage démesuré, grossier et elles sont à la recherche de buzz, c’est-à-dire plus de vue pour en vivre parce qu’elles refusent pour la plupart, de travailler pour avoir leur argent à la sueur de leur front mais de leurs fesses. Mais ce qu’elles oublient, c’est le regard moqueur des inventeurs de ces outils de communication et de l’information. Ils se disent, que les africaines ne grandiront jamais, puisqu’elles ne sont pas capables de fournir d’efforts pour s’en sortir, mais par la débauche et la dépravation sexuelle.

Tik tok est devenu un haut lieu de drague, de prostitution, de rendez-vous donné par les proxénètes pour inviter les mineures et les petits homosexuels aussi sont tombés dans ce jeu et jamais, d’inventeurs. Elles savent très bien que la nudité féminine attire le regard des hommes, elles élargissent à travers le monde entier, cette présence de ces formes décousues, pour attirer plus de vues. À la fin, elles auront plusieurs entrées d’argent par le nombre de vues et par ceux qui les draguent.

En Chine par exemple, quand les autorités se sont rendues compte de la dépravation sur leur tik tok, ils ont changé de contenu pour laisser le premier aux femmes noires pour s’exhiber et se lancer dans la prostitution déguisée et c’est dommage et regrettable. Les chinois n’ont pas le même tik tok que les africains, mais le leur, leur sert d’apprendre. Mais qui, elles croient pouvoir influencer? Qui sont ces donneurs de leçons conjugales, maritales qui souvent, elles-mêmes ne se sont jamais mariées, mais donnent des conseils aux foyers?

Tout est malheureusement galvaudé et dénaturé sur les réseaux sociaux par les femmes noires. Ce qui est supposé être un instrument de connaissance et de savoir, certaines femmes noires en ont fait leur lieu de commerce sexuel, de débauche et aucune autorité pour taper du poing sur la table parce qu’elles sont toutes dans le jeu. Nous sommes dans une société sans âme, face à un peuple sans caractère et les autorités ont démissionné, tout ce qui les importe, c’est leur électorat pour se faire élire et le reste, dépravation des mœurs ou pas, ces réseaux sociaux occupent et retiennent de l’attention et le temps de s’en rendre compte, la nuit est ombrée et ça rebelote. Voilà, la résultante de la promotion de la médiocrité car le peu d’espace sur ces réseaux sociaux, hélas, certaines l’exploitent pour se dénigrer à travers des injures grossières, quand elles ne savent pas jusqu’où, ces choses ont leurs limites.

Tout ce qui touche au savoir n’a pas de vues et les femmes africaines continuent de changer la couleur de leur peau pour ressembler aux blanches, ces complexées parce qu’il y a d’autres qui font la promotion des produits décapants. À quand le vrai réveil et l’éveil de conscience de ces africaines qui ont pourtant un grand rôle d’éducation à jouer, mère de famille dont leurs filles voudraient s’en inspirer, les singer, mais hélas. Elles y ont tellement pris goût, mais il fallait attirer leur attention sur l’usage dangereux de ces réseaux sociaux.

                                      Joël ETTIEN  

  Directeur de publication : businessactuality.com

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