Sur la route de la raison

A la station modernisée du temple, Le temps d’un achat du départ,

Je mords le temps avec la poussière, Sur la route de la raison,

Oubliant l’essentiel aveugle par la manipulation

Les cris et pleures, le carburant d’un voyage, La place de mon cerveau vibre l’insouciance,

Le bonheur me vient et repart par l’autre

Sur la route de la raison, Mes hommes dévastent tout, on avance,

C’est quand je vois que j’entends, J’ordonne, ça s’exécute et ça m’existe,

Mon âge si frais, ma conscience vénérée, Aucun indice m’indique le rivage,

Je m’enroule au creux des douleurs, Les grandes portes s’ouvrent à ma docilité, sur la route de la raison.

Insensible, déterminé, le poids est invisible, je fonce, vraiment je fonce c’est quand je me conduisais à destination, je me retrouve face au poids autrefois porté par les autres,

le jugement veut me rattraper, la distance se rétrécit et je me vois seul les grands ont disparu,

les portes closes ce qui était, ma défense, n’était qu’un mirage, où suis-je, oh, oh, oh….. des voix m’empêchent,

Je me sens égaré, Ah donc ce n’était pas le chemin de la raison,

Je suis perdu, pardon!

Joël Ettien

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