Venezuela comme la Côte d’Ivoire sous le président Gbagbo: Les immondes et la destruction des faibles
Caracas comme Abidjan, Venezuela comme la Côte d’Ivoire sous le président Gbagbo pour installer l’auto-proclamé, le plus grand dictateur, le dernier transporteur des caisses de la France-Afrique, Alassane Dramane Ouattara. Tant que les pays faibles, resteront toujours tels, ils seront une proie facile pour les grandes puissances mondiales qui n’ont aucun sentiment d’aide au développement de ces pays faibles-là. Comme toujours, c’est un des nôtres qu’ils utilisent, instrumentalisent pour venir sécuriser leur vie dans la vie des milliers de pauvres. La politique du troisième homme.
Les immondes qui infectent et bloquent les élans de développement des pays en voie de survie, on les connait maintenant. Les organisations internationales, l’ONU, l’UA, l’UE, l’UNESCO, la FRANCOPHONIE pour ne citer que celles-ci, ont été des pures inventions de blocage des pays pauvres en industrie, mais riches en matières premières, d’autres ressources naturelles dont certains pays inventaires de ces machines à broyer, ne disposent pas pour leurs industries. Pour y parvenir, c’est un des ressortissants, qu’ils fabriquent de toute pièce, qui devient la bête féroce contre la fragile stabilité des pays faibles.
Qui ne se souvient pas du cas de la Côte d’Ivoire sous le président Gbagbo Laurent ? Ouattara et ses amis, sont allés jusqu’à bloquer les médicaments pour soigner des malades. Les conséquences, ont été désastreuses, des milliers de morts, dont on en parle pas. Ils ont fait commettre trop d’exactions pour ternir l’image et la notoriété du président Gbagbo, avec à l’appui, leurs médias qui ne font que faire passer en boucle, les intox, hélas fallacieuses et ignobles à faire consommer au monde entier.
Tant que les pays faibles, ne se dotent pas de médias puissants et qu’ils doivent attendre que les leurs viennent leur faire croire que ce sont leurs vérités qui sont les sacro-saintes, ces requins seront toujours à la chasse et au blocage de leur développement. En Afrique francophone, les dirigeants attendent toujours les informations des médias français pour bouger. Heureusement que les réseaux sociaux, sont venus à point nommé pour casser cette hégémonie, qui n’a que trop duré.
Caracas, vit les mêmes ennuis que Abidjan a vécu, sous le président Gbagbo. Venezuela, traverse les mêmes ennuis que la Côte d’Ivoire du président Gbagbo et l’ONU et les autres organisations assistent, participent et enfoncent le clou. Le peuple vénézuélien meurt par milliers et sa jeunesse court dans tous les sens, pour chercher des abris. L’Amérique de Trump qui tire les ficelles, ne veut pas voir sur son sol, des réfugiés vénézuéliens et pourtant, c’est lui qui mène le bal destructif de ce pays. Pourquoi, ne pas attendre, la fin du mandat du président légalement élu et imposé leur « champion » qui ne fera rien d’extraordinaire, si ce n’est pour venir offrir le pétrole aux américains.
En Côte d’Ivoire, leur représentant de Ouattara, fait pire, se croyant soutenu. Il foule toutes les institutions au pied, se comporte comme un despote, un monstre qui broie tout sur son passage, sans se soucier de la vie de ceux qu’il prétend gouverner. Observez très bien ce qui se passe au Venezuela, quand, c’était la France, comme un tigre qui avait sa proie, la Côte d’Ivoire, l’ONU, n’a rien fait pour secourir le président Gbagbo, bien au contraire, elle l’a fait traîner de pays en pays, donnant l’impression, de tentatives de solutions, pour le mettre dans une prison inventée par leurs soins, la cour pénale internationale, la CPI. Vers la fin, ce sont les rebelles, des incultes, analphabètes qui ont été parachutés dans l’administration et le pays se trouve complètement paralyser. Sinon, dans un état normal, comment peut-on soutenir militairement, économiquement, socialement, un auto-proclamé, si ce n’est de la sorcellerie ?
Dieu a sauvé le président Gbagbo Laurent, mais pour les autres, tant que les choses seraient en l’état, ce n’est pas évident parce que l’ONU a créé la CPI pour montrer, sa face cachée de l’imparable.
Malheureusement, le monde est dirigé par les puissances économiques et militaires. C’est une question de rapport de forces. Les pays en voie de développement , ont une seule alternative, parler d’une même voix ou se rallier à des puissances emergentes comme la Russie et la Chine. Après la dislocation de l’Union Soviétique, les puissances de l’ouest n’ont plus de concurrents politiques. Le retour en force de la Russie, pourrait bien équilibrer les rapports de force.