Côte d'Ivoire, pays victime de la FranceA LA UNE AFRIQUE 

CÔTE D’IVOIRE, PAYS DE PAIX VICTIME DE L’HÉCATOMBE DE LA FRANCE

Qu’est-ce qui se passe sur cette terre africaine que le Créateur a créée mais qui, depuis des millénaires, ne fait plus vivre l’homme noir ? Pourquoi cette terre n’offre-t-elle plus l’image si merveilleuse qu’on lui connaissait à sa création ? Que s’est-il passé dans la tête de ces grands présidents du temps moderne, ces hommes qui se disent plus instruits mais qui n’ont de cesse de traumatiser le continent noir depuis sept siècles ? Qui sont réellement ces gens qui continuent d’anéantir les peuples noirs sur la terre africaine ? On peut aisément imaginer une réponse : l’homme blanc refuse la vie à l’homme noir sur son sol, la terre sur laquelle tous les hommes ont vu le jour. Parce que le Blanc veut encore créer une histoire sans queue. 

Avant de présenter les faits qui corroborent ce que j’avance ici, comprenons que l’homme européen continuera encore à tuer les enfants du continent noir. Sommes-nous sur notre continent, terre d’espérance et de solidarité ?

En ce vingt et unième siècle, les Occidentaux fomentent des coups d’État dans nos pays riches, afin de les piller et les appauvrir. Et le drame, en qualifiant nos États de « pays pauvres », ils refusent d’admettre que ce sont eux qui les appauvrissent. Les événements qui se produisent nous donnent pourtant raison depuis la mort de Kadhafi et le bombardement de la Côte d’Ivoire dans lequel plus d’un million d’Ivoiriens ont perdu la vie. Les Occidentaux veulent cacher les faits comme s’ils étaient les seuls capables de réfléchir. Mensonge ! L’histoire ne peut être effacée. Ils oublient que l’homme noir est aussi un être pensant comme eux : il a bien un cerveau qui fonctionne.

Chose plus étonnante, des personnes qui se disent la mémoire du Continent noir continuent à vendre leurs peuples comme en 1430 apr. J.-C. ! En effet, pour tenir captifs les pays d’Afrique noire, les institutions financières européennes imposent aux présidents africains comment ils doivent vivre sur leur terre. Le qualificatif « pauvre » qui est attribué à tout bout de champ par l’homme blanc ne s’applique pas seulement à nos pays. Non ! Il concerne aussi nos têtes qui ne contiendraient rien que de l’eau, car nous (pour ne pas dire nos présidents noirs) ne réfléchissons pas, nous sacrifions nos enfants aux Blancs en vue de nous occuper uniquement de notre personne, sans plus. Ainsi, les pays d’Afrique noire forment des gouvernements familiaux. Quel désastre !

À titre de rappel au peuple africain et en particulier au peuple ivoirien, d’après une réunion tenue au mois de juin 2024 à Paris, la Côte d’Ivoire servirait de base militaire à l’OTAN, l’armée française, l’armée de la CEDEAO et l’armée américaine. Or l’armée française est déjà dans le pays des Ivoiriens, muette quand il s’agit de couvrir ses poulains noirs dans leurs sales besognes et prêtre à intervenir avec brutalité quand les intérêts de la France sont en jeu en Afrique ! Et nous savons quel résultat cela a produit de 2002 à 2020 avec comme point focal la tête d’un Ivoirien qui a servi de ballon de football.

La scène indigne qui nous a été servie le samedi 20 juillet 2024 au cours d’une réunion parlementaire de la CEDEAO, témoigne de la barbarie des poulains des Occidentaux. En effet, une députée ivoirienne, furieuse, voulait porter la main sur son collègue dans cette institution sous-régionale. Soit dit pour défendre les chefs d’État de la CEDEAO que ce collègue aurait dénoncés et par ricochet soigner la bonne image politique de son président Alassane Ouattara et de son parti politique, le RHDP. Mais malheur ! Par son agissement, cette élue du peuple a déculotté son parti et son président parce qu’elle a ignoré les intérêts du pays ou même de la population qui l’a positionnée à ce poste honorable. Elle a pensé que la CEDEAO d’aujourd’hui est à l’image de la Côte d’Ivoire où l’on peut couper des têtes, éventrer des femmes enceintes, brûler vifs des nouveau-nés, pour dire que les Ivoiriennes et Ivoiriens n’ont aucun droit d’ouvrir la bouche ou de vivre sur leur terre. Autrement dit, au moindre claquement des doigts, les machettes pourraient faire irruption dans la salle des parlementaires, portées par une horde de microbes à la solde de son parti politique. Malheureusement pour la députée qui ignore qu’elle représente un pays et son président, la séance ne se déroulait pas à l’Assemblée nationale ivoirienne où les députés doivent se taire, au risque d’avoir leurs gorges tranchées dans leurs maisons ou dans les rues d’Abidjan.

À bien l’écouter, l’honorable Guy Marius Sagna a intelligemment choisi les mots dans son intervention pour défendre tous les peuples du continent noir. On a envie de réclamer la gloire de l’Éternel Dieu sur sa vie. Même ses collègues présents dans la salle ce jour-là, silencieux, étaient contents au fond qu’une personne arrive au moins à ouvrir le chemin que tout le monde doit prendre. Guy Marius Sagna n’a fait que dire tout haut ce que les autres pensent plus bas. Des présidents font des coups d’État constitutionnels pour prendre le pouvoir, avec la complicité de l’État français. Et ils sont nombreux au sein de la CEDEAO pour vendre leurs pays – d’où l’appauvrissement – afin de se maintenir au pouvoir.

Nous nous posons la question : pourquoi empêche-t-on des gens de dire la vérité en Afrique noire ? La CEDEAO devrait normalement couronner le député Sagna. Son discours ouvre les portes fermées depuis l’indépendance dans les années 1960, 1961 et 1962. Il déclare que la CEDEAO tue son peuple, ce qui est vrai et qu’elle ne peut nier. Aujourd’hui, 80% des Africains savent que la CEDEAO travaille pour l’Europe et non pour l’Afrique. Mais est-ce que les présidents noirs qui tuent au profit de la France ont une manière de tuer leurs peuples ? Nous le voyons tous les jours pour les États qui demandent la liberté pour mieux gérer leurs concitoyens. Et là, l’armée de la CEDEAO et l’armée française n’hésitent pas à plonger ces pays dans un bain de sang. La honte frappe surtout les pays francophones quand on les voit aux côtés d’un président français.

Nous voici sur un continent, l’Afrique noire, dont des présidents ne veulent pas entendre parler dans l’histoire de l’humanité. Dans cette histoire, Guy Marius Sagna a révélé que le temps des dirigeants africains qui ne veulent pas voir l’homme noir vivre parce qu’ils veulent simplement rester les patins de l’Europe pour devenir les négriers du monde moderne, est passé. Mais la CEDEAO des chefs d’État, patronnée par la France pour enlever les présidents légitimes et tuer les peuples, veut continuer à être le Bourreau de ses signataires en tuant les enfants et les femmes du Continent Noir. C’est dommage !

L’Afrique noire doit retenir une chose pour avancer dans sa quête de liberté, ce qu’elle a perdu entre l’an 332 av. J.-C et l’an 0. Après le lavage de cerveau, l’homme noir est assujetti aux hommes qu’il ne connaît pas, des hommes qui n’ont jamais eu un contact commercial ni un échange humain avec lui, des barbares de pure espèce. Mais, ce que nous savons, c’est que le temps est le révélateur de toutes choses. Et ce temps est arrivé pour libérer l’homme noir des filets de fer tendus sur le chemin de la liberté. En réalité, la France est sous l’effet de la barbarie qui a anéanti la Grèce et la Rome antiques. Car l’administration française a encore des idées esclavagistes, et l’homme noir demeure toujours esclave pour la France. C’est dommage pour elle !

Nous vous présentons ci-dessous en petits extraits les deux bourreaux du temps moderne de l’Homme Noir !

  1. Léopold II, ce bourreau aux dix millions de victimes congolaises dans les années 1865
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Le bourreau de Congo de 1885 à 1908 avec 15.000.000 de victimes

À la fin du XIXe siècle, le système colonial établi au Congo par Léopold II, roi de Belgique, atteint un degré de brutalité tel qu’il sera à l’origine d’un des plus grands massacres de l’Histoire. On parle de dix à quinze millions de morts, même si l’affaire est très discutée. Malgré la polémique, ce triste chapitre de la colonisation est pourtant encore peu étudié aujourd’hui. Certains universitaires, certains journalistes, congolais, belges, en parlent, mais c’est souvent vite lu et oublié dans les sous-sols des bibliothèques ou dans les bennes à papier. Afin de mieux comprendre les affres de la question congolaise, qui préfigure certains problèmes de la globalisation actuelle, nous nous baserons en grande partie sur les travaux d’un des spécialistes de la colonisation en Afrique aux XIXe et XXe siècles, Elikia M’Bokolo, directeur d’études à l’EHESS.

  1. Charles de Gaulle, l’homme qui a fait massacrer mille six cents officiers, sous-officiers et hommes de rangs qui réclamaient leurs pécules
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Charles de Gaulle, le bourreau des tirailleurs sénégalais à Thiaroye-Dakar

(après la seconde guerre mondiale)

L’image dégradante de la France est celle du Général De Gaulle presque suppliant devant les Africains, disant : « Nous vous donnerons votre liberté après cette guerre qui a commencé en 1939, dans le mois janvier 1944. » Enlisant les archives, nous remarquons que, pendant la deuxième guerre, les militaires français ont positionné les soldats noirs tout autour de ville de Lyon, afin qu’eux, y puissent survivre. Et pour mieux connaître l’homme de la France libre, le Général de Gaulle, nous attirons votre attention sur le système français : quand il reçoit de toi de loyaux services, ta récompense est la mort ou la dépossession de biens matériels.

Dans l’année 1944, au mois de novembre, 1 600 militaires officiers, sous-officiers et hommes de rangs africains dont 1 280 issus de différents territoires de l’Afrique Occidentale Française intégrés dans les « tirailleurs sénégalais» — sont regroupés dans le camp de Thiaroye, à une quinzaine de kilomètres du centre de Dakar. Ils viennent du Sénégal, du Dahomey (actuel Bénin), du Soudant français (actuel Mali), de la Haute-Volta (actuel Burkina Faso), de la Côte d’Ivoire, de l’Oubangui Chari (actuel Tchad), de Centrafrique, du Niger, du Gabon et du Togo... Je vous laisse imaginer la suite.

Des questions méritent d’être posées: Pourquoi ces deux hommes blancs (Léopold II et Charles de Gaulle) ont-ils causé tant de mal à la race noire ? La vérité est que, dans la tête, l’homme noir est épris de paix, mais pourquoi est-il subitement devenu barbare aujourd’hui ?

À cause du Blanc ! Oui, le Blanc ! Durant sept cents ans le Noir a été victime de manipulation et d’atrocités ; ce qui a fait naître en lui un sentiment de méchanceté hérité de l’homme blanc.

Nicolas Sarkozy, ancien président de la République française, disait : « La démographie des peuples noirs dans son ensemble est la solution, pour que le Blanc puisse mieux vivre. » Et le général François Lecointre de soutenir il y a deux ou trois mois dans cette année de 2024 : « Dans dix années, la France recolonisera l’Afrique comme en 1940. Parce qu’elle manipulerait d’autres Africains pour se battre contre les justes dans leurs pays, ceux que nous appelons aujourd’hui des terroristes. Ce sont les personnes payées et armées par les mains qui payent pour se battre contre leurs frères, pour un prix dérisoire. »

Des paroles à prendre très au sérieux dont nous retrouvons les traces dans cet extrait du discours de Zbigniew Brzezinski ci-dessous :

« Étant donné que nous préparons le repeuplement de la Côte d’Ivoire par des bras valides venant de la sous-région ouest-africaine, nos services soupçonnent les souverainistes ivoiriens de préparer une révolution. Bien que la France et son armée en Côte d’Ivoire veillent au grain avec l’appui stratégique de l’ONUCI, nous devons trouver une solution, je vous prie, car si l’Afrique aussi s’y met, où irons-nous? Je propose donc une solution de corruption morale et politique dont doivent se charger nos services sur le terrain sous bienveillance française, afin de reconduire notre pion lors des élections en 2015, même s’il (Alassane Ouattara) demeure un passable chef d’État. En outre, nos ennemis russes et chinois continuent leur avancée, et ce, jusqu’en Guinée-Conakry au sol hyper riche. Il faut agir pour qu’elle ne tombe dans leurs mains.

 Chers amis, le reste de cette intervention concerne les autres zones du monde. Je m’arrête à cette partie de l’intervention de ce lugubre homme qui a causé pas mal de dégâts dans le monde par son influence diabolique. Ainsi donc, pendant près de trois ans, les Illuminati n’ont pas réussi à vaincre, comme ils le reconnaissent eux-mêmes, les souverainistes ivoiriens, qu’ils soient en prison, en liberté ou en exil. Les grandes puissances sont faibles face à une résistance morale, politique et militaire sur le long terme. En la matière, les souverainistes ivoiriens ont fait montre d’une capacité de résistance inouïe et qui fait peur à l’Occident. C’est pour retourner la situation en leur faveur et atténuer toutes révolutions, qu’elle soit civile ou autre, qu’il fut permis de libérer à la veille de la fête nationale, des leaders du parti de Laurent Gbagbo. Objectif: amener les souverainistes à se ramollir par l’émotion des retrouvailles, puis baisser la garde.

Ce qui va, progressivement, permettre l’invasion du pays par les masses ouest- africaines qui doivent devenir propriétaires des terres ivoiriennes dans le temps tout en jouant un rôle central dans les décisions politiques du pays. Voici le plan tel que concocté par les services de l’ombre illuminati. Les pontes du FPI, libérés, croiront en un retour en grâce sur le terrain politique. S’il vous plaît, messieurs, ne vous laissez pas enivrer par cette liberté vicieuse. Car ce qui se prépare contre votre pays est plus grave que vous ne l’imaginiez. Si vous pensez que c’est par la simple politique que vous garantirez la souveraineté de votre nation, alors considérez-vous comme des morts en sursis. C’est à vous de juger. Faites le choix: votre nation ou votre personne. Le mixage à ce niveau n’est pas permis. Seulement je vais vous dire une chose qui est la suivante: êtes-vous conscients de l’enjeu politique qui vous incombe?

Avez-vous compris la vision de votre chef (Laurent Gbagbo) déporté à La Haye? Lui, le premier chef d’État africain qui a mis à genoux la haute finance internationale en mars 2011, sans oublier sa victoire militaire sur les hordes de mercenaires recrutés dans toute la zone ouest-africaine et les soldats français et onusiens dont les corps ont été largués au large de l’océan Atlantique. Je vais vous dire que lui Laurent Gbagbo est encore au combat à la CPI et que grâce à lui cette organisation illuminati est en train de devenir l’ombre d’elle-même jusqu’à obtenir le retrait du Kenya ainsi que d’autres pays de cette lugubre institution.

Je me souviens encore. Oui, je me souviens quand Laurent Gbagbo, lors de son investiture le 04 décembre 2010, a tenu des propos qui ont affolé la communauté internationale. Il a dit que la souveraineté de votre nation n’est pas négociable et qu’un pays qui perd sa souveraineté, perd le contrôle de tout et devient alors un pays vassal (esclave). En outre, il a appelé lors de cette même investiture, les Ivoiriens à être les gardiens de leur souveraineté. Votre président ne croyait pas si bien dire. Négocier le destin de sa terre avec ceux qui sont décidés à éradiquer la race ivoirienne est une faute politique, morale et criminelle de la part de ceux qui s’en font complice. Par la faute de ceux-là, les générations à venir risquent d’être condamnées à jamais. »

Comprenne qui peut et qui veut.

Chers lecteurs, cher peuple de Côte d’Ivoire, nous vous avons adressé à plusieurs reprises les deux cartes géographiques de la nation ivoirienne. La nouvelle carte du pays comporte 28 à 30 régions qui ne doivent pas être rayées, mais 40 à 42 autres régions ont déjà été« vendues » aux étrangers ; raison pour laquelle la France met la pression pour raser la ville d’Abidjan avant d’attaquer les provinces. Et ce n’est pas tout. L’acte posé par la députée ivoirienne vice-présidente du parlement de la CEDEAO, le samedi le 20 juillet 2024 à Abuja, est le prolongement des esprits belliqueux qui souhaitent voir disparaître leurs semblables. À coups de machettes ou de gourdins à l’Assemblée et ailleurs, peu importe ! Ainsi, l’Afrique noire entière est témoin que la CEDEAO est devenue le négrier de 1430. L’Europe a donc « créé » l’UA, l’UEMOA et la CEDEAO qui forment le triangle des négriers d’autrefois, pendant l’exportation des esclaves derrière les océans.

Saluons ici à sa juste valeur l’esprit clairvoyant de l’honorable GUY MARIUS SAGNA. L’Afrique n’est pas pauvre, on l’appauvrit !

De Jean Blezon,

Écrivain-Penseur – (La mort appartient à tous et nous l’attendons à chaque seconde qui passe.)

Vitry, le 06 août 2024

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