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Afrique: est-ce modifier les constitutions à la veille des échéances électorales, qui renforceraient le crédit, des chefs d’état africains?

Les constitutions africaines et les chefs d’état sont ridicules.

Les constitutions africaines à la guise des chefs d’état

On s’approche dans la plupart des pays africains, de la date des échéances électorales et les plus minables décousus de stratégies pour le développement de leur pays, croient que c’est en modifiant leurs constitutions qu’ils feraient mieux pour leurs compatriotes.

Ils sont tellement obtus et démesurés, qu’ils ne voient pas ce qui se passe chez le voisin. Tout chef d’état qui, à la fin de son règne se croit dans l’obligation de toucher à sa constitution, est un voleur, un incapable et un dictateur. Dans certains pays africains au taux d’immigration inférieur à 5%, réussissent leur combat, mais ceux qui sont engloutis comme la Côte d’Ivoire, à hauteur de 58%, ont maille à décoller.

Pourquoi pensent-ils que le problème, résiderait dans la modification de leurs constitutions ? La constitution, n’est pas le peuple et le peuple n’est pas la constitution. Ils font tous les mêmes erreurs d’appréciation. Ils se croient à la protection de la France qui leur sert souvent de couverture. Mais ce qu’ils oublient, c’est que la France se met du côté des rapports de force.

Les risques de la modification des constitutions

Aujourd’hui, ces chefs d’état africains, ont tellement fait grandir la haine et la rancœur dans le cœur de la jeunesse africaine que cette jeunesse va s’en prendre aux ressortissants étrangers vivants sur le sol africain, pour leurs bêtises.

Si au Mali, Burkina Faso, en Côte d’Ivoire, l’instabilité s’est érigée en mode de gouvernance sans qu’aucun chef d’état ne lève le petit doigt et que c’est toujours à la veille de la fin de leur mandat, qu’il faut tripatouiller la constitution, de quoi souffriraient donc ces valets ?

Souvent, on se pose la question, pourquoi eux-mêmes ne songent pas à changer de nom à l’approche de la fin de leur mandat, pour qu’on les retrouve dans une renaissance ? La constitution d’un pays, c’est l’identité de ce pays. Comment sont-ils faits ces chefs d’état qui se mettent derrière la constitution pour se maintenir au pouvoir? De qui se moquent-ils quand les autres nations, se dotent d’une bonne foi pour toute, des constitutions pour faire avancer leur pays ?

Quand le président Obama dont toute l’Afrique avait cru qu’il viendrait faire changer l’amnésie chronique de ces chefs d’états africains, avait fait le constat de leur conseiller que, ce n’est pas en changeant toutes les minutes, les constitutions qui feraient grandir le continent, mais plutôt, renforcer celles-ci, qui ferait la force du continent, ceux de l’espace francophone, lui ont ri au nez.

L’Afrique n’a pas besoin de Goliath à sa tête

Ce n’est pas les Hommes forts qu’il faut à l’Afrique, mais des institutions fortes. Cette sonnette d’alarme, n’a pas retenti dans leurs oreilles et l’espace francophone africain, continue d’offrir à la communauté internationale, la plus grande honte de l’humanité.

Le désordre qu’ils font régner, l’incapacité d’offrir le mieux-être à leur jeunesse avec la complicité des puissances occultes, tôt ou tard, ils paieront.

Pourquoi, ces chefs d’état, n’aiment pas sortir dignement de la politique que subir la honte ? Voilà, une nouvelle mode qui commence à voir le jour en Europe. Les brigades qui se mettent en place en Europe qui les humilient sans cesse. L’exemple des camerounais, des congolais et bientôt cela va servir aux autres communautés. Si c’est ce qu’ils veulent, la diaspora africaine, va le leur offrir, parce qu’ils vivent dans des pays, où ils ont la possibilité et la liberté d’expression.

                                                                                 Joël ETTIEN

                                       Directeur de publication : businessactuality.com        

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