Ibrahim Traoré, président du Burkina FasoA LA UNE AFRIQUE 

Burkina Faso/Rétro TRAORÉ : Une analyse rétrospective non exhaustive de 1 an 3 mois de gouvernance résiliente du Capitaine Ibrahim TRAORÉ.

Le 11 décembre dernier, seulement hier, il était face à son peuple, le Capitaine courage, capitaine intègre Ibrahim TRAORÉ, sans papier et avec le cœur pour son troisième discours solennels en tant que père de la nation burkinabé à l’occasion de son adresse solennelle, fidèle aux rituels événementiels nationaux.

États des lieux, actions concrètes, réformes et perspectives ont toujours été le menu principal de la trame du discours du Chef de l’État burkinabè.

Comme à ses habitudes, le Président TRAORÉ s’est adressé aux burkinabè de l’intérieur qu’à ceux de l’extérieur avec le même respect et les mêmes attentes.

Comme à SOLENSO ou à OUAGA ou encore sur dans un centre de formation des VDP derrière une colline, l’état d’esprit du Président du Faso a toujours été le même : intègre, digne, résilient, serein, convaincu et convaincant.

Après avoir salué la mémoire de tous ceux qui sont tombés au nom de la dignité et de la liberté communes, combattants ou civils, témoigné sa sympathie aux blessés, sa compassion aux parents des victimes et galvanisé les vaillants combattants engagés sur les lignes de feu, le Président TRAORÉ a reconnu et apprécié à sa juste valeur la contribution et la résilience du peuple dans toute sa diversité pour l’accompagnement, les sacrifices et efforts consentis afin de soutenir dans un seul élan patriotique et un même état d’esprit la transition pour parvenir à la restauration de la paix et de la stabilité au Faso.

La guerre n’étant qu’à son véritable développement avec l’équipement adéquat et les unités appropriés et déployées, le Chef de l’État a appelé les contributeurs à l’effort de paix, de l’intérieur comme de l’extérieur, opérateurs économiques prospères ou citoyens ordinaires, fonctionnaires publics ou acteurs du secteur privé a faire encore plus de sacrifice en 2024 afin de pouvoir améliorer les primes et prises en charges des VDP ainsi que les assurances vie à leur profit à celui de leurs familles.

Il faut rappeler que le Burkina Faso sous sanctions après les deux coups d’État et sous l’ostracisme de certains pays et institutions sous le couvert de manque de démocratie vit selon ses propres ressources et se démerde comme il le peut avec dignité pour soutenir son économie et financer sa guerre contre le terrorisme. Malgré ce contexte insupportable, le régime du Capitaine Ibrahim TRAORÉ tient la route et fait des prouesses dans la lutte contre le terrorisme mais également dans la restructuration de la matrice économique du pays. Tout l’écosystème des secteurs de production et de services est en pleine mutation avec des réformes courageuses notamment dans le domaine agricole et minier mais aussi au niveau des règles de coopération internationale et des lois internes. De l’usine nationale de raffinement d’or avec une production annuelle de 130 tonnes aux structures de transformation en passant par les pôles agricoles de productions agricoles régionales, la guerre du développement est menée conjointement avec la guerre des armes pour recouvrer l’intégrité territoriale nationale aussi atteindre l’autosuffisance alimentaire et le progrès économique.

Les soldats et VDP ne sont pas seulement des combattants mais des agents de développement sur le terrain aux côtés des populations, ce qui présage d’un avenir de paix sans armes après la résolution de cette crise qui ne saurait encore tarder. Cette politique d’anticipation et de planification à long terme est un gage de sérieux du régime TRAORÉ de faire du Burkina Faso un pays des hommes intègres en développement endogène qu’un pays policier comme il l’a été pendant près de 27 ans sous COMPAORÉ.

Malgré la guerre et la crise humanitaire le Burkina Faso est debout et digne grâce au leadership de son Chef qui fait de l’honneur et de la dignité de son peuple, des pierres précieuses non bradables pour rien au monde.

La diplomatie burkinabé est au meilleur de son top malgré le statut d’exception actuel du pays, une communication politique maîtrisée et un environnement dépollué des parasites communicants des terroristes déguisés en faux prophètes de la liberté d’expression.

Sur le plan politique, culturel, sportif et intellectuel au niveau mondial, le Burkina Faso n’envie personne malgré la guerre injuste à lui être imposée par les manifestations locales de l’impérialisme de domination et de prédation économique, culturelle et religieuse.

Le débat profond sur l’intellect et l’intelligence, l’école traditionnelle occidentale et l’éducation nationale, les connaissances académiques mécaniques robotiques occidentales et les connaissances intellectuelles intuitives et spirituelles, les libertés et les libertinages, la libre expression et la libre négation de soi, les choses utiles et les choses qui usent, ce débat a émergé au niveau de la société avec des intellectuels diplômés qui le portent fièrement et dignement.

Aujourd’hui le Burkina Faso est cité en référence par l’ensemble des intellectuels africains dans divers pays et qui réclament à leurs dirigeants des décisions et réformes courageuses comme le départ des soldats d’occupation néo-coloniale, la relecture de certains accords internationaux, la dénonciation des conventions de réciprocité de non imposition entre la France et ses anciens colons, la suppression du franc CFA et bien d’autres réformes autrefois impossible d’envisager dans un contexte de plafonds de verres juridiques arbitraires et esclavagistes.

En seulement 1 an et 3 mois à la tête du pays malgré la résilience, l’adversité interne et externe, les obstacles et pièges des impérialistes et leurs valets locaux, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ et ses hommes ont su maintenir le pays debout et hisser son drapeau au firmament de l’espoir et de l’espérance.

Le thème de la célébration du 63 anniversaire en dit tout l’essence : « Engagement patriotique et participation citoyenne : fondamentaux pour le retour de la paix et la construction de l’Etat-Nation Burkinabè ».

KABRE Yamba

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