Coronavirus: le président Pierre Nkurunziza, décède suite à un arrêt cardiaque, en confiant son destin à Dieu.
En voulant faire confiance à Dieu, l’ancien président burundais, M. Pierre Nkurunziza a exposé la vie de toute sa famille et c’est bien dommage et cela doit servir de leçon pour tous les africains, qui croient sans avoir les preuves de leur croyance.
Disparition de l’ancien président burundais Pierre Nkurunziza
A l’annonce du coronavirus où le danger inquiétait tout le monde qui obligeait les chefs d’état à prendre des mesures barrières contre la mort, l’ancien président burundais Pierre Nkurunziza, le défiait se confiant à un dieu qui n’a pas répondu à son appel protecteur.
Le première dans son entourage avoir été contaminée, c’est son épouse qui se trouve jusque-là, entre la vie et la mort dans un hôpital kényan, lui-même aussi, vient de succomber au moment où on était entrain de mettre sur le compte d’un poison, sa mère vient de rendre l’âme. Finalement, personne n’a voulu à la mort précipitée du président Pierre Nkuruziza, c’est lui, qui a défié la mort et a exposé toute sa famille.
Qui seront les suivants dans cette hécatombe ? Avec quelle légèreté, le défunt président a géré la crise ? Le virus est une réalité et qui tue. Il a contraint tous les édifices religieux à fermer leurs portes. Même le grand pape a prêché devant un auditoire d’habitude plein de monde, vide et n’eût été les réseaux sociaux, ce Dieu n’allait pas trouver de cadre d’expression. Les plus grands imams ont obéi à la loi de ce virus, es respectant les consignes et mesures de protection, alors pourquoi le président Pierre Nkurunziza a-t-il été léger ?
On se souvient qu’il avait défié l’OMS et passait son temps avec la bible à la main et voilà les conséquences de sa croyance.
Nous avons dit que ce virus n’a rien de spirituel, mais scientifique, quiconque voulait le défier, s’exposait à la mort. Ce président si jeune, 55 ans, s’est donné la mort et contraint tous les membres de sa famille à vivre dans la peur, la contrainte.
C’est vraiment dommage. Ce Dieu-là, ne répond pas aussi promptement à ses fidèles, sinon les blancs qui l’ont créé, n’allaient pas lui manifester cet éloignement spirituel. Jusque-là, aucun scientifique n’est venu à bout de cette pandémie, alors, il faut obéir aux règles sécuritaires, entre autres, porter un masque, se laver les mains, éternuer dans le coude du bras, ne pas fréquenter les milieux bourrés de monde.
Pierre Nkurunziza s’en est allé et il n’aura pas les funérailles dues à son rang puisque le virus est encore présent. La tristesse avec laquelle, le monde va regarder l’Afrique à partir de cette croyance à un dieu, c’est ça, qui me fait de la peine.
Joël ETTIEN
Directeur de publication : businessactuality.com