Côte d’Ivoire: Des dangers de mort planent sur les ivoiriens

Quelle est la différence entre la théorie du remplacement démographique et le vivre-ensemble ? Quelle est cette politique de la théorie du remplacement démographique que Ouattara applique et que personne n’en parle ?  

Le régime de Ouattara joue à un jeu très dangereux que l’opposition voit et se tait, je ne sais pour quelle raison. Un bateau transportant 18 000 tonnes de riz empoisonné vient d’être déversé dans un entrepôt au port. Ce bateau a été refusé par tous les pays qu’il a traversés et c’est en Côte d’Ivoire que le pouvoir l’a autorisé à déverser cette quantité de riz pour tuer les ivoiriens, sous le fallacieux prétexte que la Côte d’Ivoire disposerait de grands laboratoires pour analyser le contenu et les caractéristiques de ce riz. Le bateau est retourné vide et l’armateur, est content, d’avoir rempli sa mission. Il va se mettre plein la poche et les ivoiriens qui vont consommer ce riz, vont tous mourir. La fédération des consommateurs, va fermer les yeux sur cette pandémie. Ils sont tous complices.

On se rappelle, sous le président Laurent Gbagbo, les déchets toxiques ont été déversés à Abidjan et qui ont tué des milliers d’ivoiriens, avec des naissances d’enfants bizarres, les commanditaires courent toujours et le crime a été commis. Les coupables continuent de courir, sans jugement.

Sous Ouattara, nous assistons à la théorie de remplacement démographique, qui n’a rien avoir avec la politique du vivre ensemble dont il chante tous les jours pour berner la population. Nous allons prendre des exemples pour mieux nous faire comprendre. A l’ouest ivoirien, les villages n’étaient pas trop peuplés. On pouvait dénombrer, au bas mot, à l’époque, à plus de 200 habitants par village. A l’arrivée de Ouattara, avec la complicité des cadres de cette région, il a déversé dans chaque village, plus de 2000 burkinabé. Le Mont Péko, en est la parfaite illustration. En termes de nombre d’électeurs, par soucis de solidarité et de protection, ces étrangers, seront naturalisés et les candidats de Ouattara, passeront à toutes les élections. Les conséquences d’une telle politique, sont désastreuses car, désormais, ces autochtones seront phagocytés et mis en minorité au profit des populations étrangères, ce que j’appelle, LA POLITIQUE DE LA THÉORIE DU REMPLACEMENT DÉMOGRAPHIQUE et leur disparition, est inévitable. Il se trouve que dans l’animation politique au quotidien, ce sont les natifs de cette région devenus des cadres, qui encouragent l’application de cette politique macabre. Ils sont complices.

Revenons sur le cas, du riz empoisonné qui sera distribué dans les villages, villes et quartiers populaires, tel que Yopougon peuplé d’ivoiriens autochtones hostiles à la politique de Ouattara. Ce riz ne sera jamais déversé à Abobo ou à Adjamé, où, on dénombre la présence de la CEDEAO.

A partir de quels appareils, les pauvres consommateurs de ce riz mortifère, même pas avarié, disposent-ils pour contrôler sa qualité ? Dans les régions de Gagnoa, Korhogo, Bongouanou, Abidjan, Man, Bouaflé pour ne citer que celles-là, nuitamment, ce riz sera déversé et les maquis populaires le cuisineront pour tuer le maximum d’ivoiriens.

Dans les pays où cette politique a été appliquée, ils ont utilisé plusieurs méthodes, par exemple, les vaccins capables de rendre stériles les femmes comme chez les hommes ou par des aliments empoisonnés distribués aux populations autochtones pauvres, comme cela se passe aujourd’hui, en Côte d’Ivoire. N’oublions pas qu’un autre instrument est utilisé, en l’occurrence la religion, qui participe à l’inconscience ou à l’obscurantisme des populations ignorantes. Donc, Ouattara et ses acolytes, font exprès pour éliminer doucement les ivoiriens, pour les remplacer par d’autres peuples déjà accostés aux frontières et dans les forêts classées et qui n’attendent que l’ordre leur soit donné, pour rentrer massivement dans le pays et aller occuper toutes les localités. Voilà, en quelques mots, les dérives outrancières de la politique de la théorie de remplacement démographique qui n’a rien à voir avec la politique du vivre ensemble.

La politique du vivre ensemble, est une politique voulue comme, au Canada, qui possède d’énormes superficies non habitées. Pour avoir des habitants, ils ont décidé, de faire venir des gens de partout, avec une politique de souplesse pour la régularisation de tous les étrangers. La Côte d’Ivoire n’a pas besoin de cette politique du peuplement, parce que sa superficie n’est que de 322 462 km, et est déjà occupée par des ivoiriens.

C’est quoi, le problème pour que Ouattara, chaque jour, envoie une surpopulation sur le territoire ivoirien, qui occupe illicitement, les administrations, l’économie, l’armée, la gendarmerie, la police et tous les secteurs de la vie qui produisent des richesses au détriment des ivoiriens ?

Quand, des leaders politiques, comme madame Simone Gbagbo, ex-première dame, députée, historienne, passe tout son temps dans les églises à implorer Dieu, Jésus, elle, faisant partie des symboles de lutte, c’est quoi, le véritable projet, si ce n’est pour abrutir la population, déjà mal en point. Est-ce la condition pour sa libération ?

Donc, inutile de raconter partout que Ouattara applique la politique du vivre ensemble, mais plutôt, la politique de la théorie de remplacement démographique. 18 000 tonnes de riz empoisonnés vont être distribuées dans certaines localités et d’ici peu, c’est des milliers de morts, des enfants malformés, avec des handicaps jamais vus dans le monde pour trouver des médicaments, les opposants, vont se taire, fermer les yeux et bouches pour attendre, la période des élections pour venir mentir. Ouattara expose tous les ivoiriens à la mort, dans le doute avec sa politique du vivre ensemble qui n’est d’autre que la théorie de remplacement démographique.

Il est grand temps, que les ivoiriens consomment les aliments produits localement, dont ils sont sûrs d’en vivre que d’aller payer du riz sur le marché pour mourir, après consommation. Il faut surtout éviter dans les jours à venir, de manger dans les maquis populaires, où ils savent que c’est dans ces lieux, il y a beaucoup d’ivoiriens, pour leur donner cette mort voulue, ces milieux, ne sont pas fréquentés par les nouveaux ivoiriens. Aujourd’hui, les ivoiriens meurent par milliers à cause de la paupérisation imposée par le même système. On annonce, la privatisation des centres hospitaliers universitaires (CHU), et les ivoiriens acquiescent pour aller se tordre de douleur et mourir, comme des rats ou des colonnes de fourmis qui traversent une route fréquentée par des voitures.

Le danger plane sur la Côte d’Ivoire et c’est bien pensé car c’est ce qui rentre dans le ventre, qui donne la mort, si cet aliment est infesté de poison. Prudence et vigilance.

                                                                                                             Joël ETTIEN

                                                  Directeur de publication : businessactuality.com

Related posts

Leave a Comment