Côte d’Ivoire: Il faut accompagner Jacques Ehouo avec fanfare à la préfecture
Nous sommes tristement dans un pays producteur de crise cardiaque, de cancer et d’AVC, et qui nous fait tous les jours, assister à la démonstration de la pire dictature et qui n’a d’yeux que pour ses intérêts et dans son orgueil, manque d’humilité en méprisant les règles de la démocratie, piétinant ainsi, toutes les institutions de la république.
Jacques Ehouo a quoi de particulier que pour son installation pose ces problèmes qui frisent en règlement de compte ? Quelle est cette haine que le pouvoir manifeste à l’égard du nouveau maire élu ? Après lui avoir mis autant de misères sur le chemin de son installation, qui s’est soldé par un face à face avec un cadre de sa propre famille politique, N’dri Parfait, fabriqué par leurs soins au dernier moment et qui a donné du tournis au monde entier. Le score qui a fait la différence, a été très mince. La victoire, oui cette victoire, méritée parce que, ce que l’homme déplore, Dieu déteste et rétablit la vérité. De cette manifestation de l’injustice humaine, Dieu s’y est invité pour tout mettre en ordre. Finalement, cette victoire n’est plus humaine, mais spirituelle qui peut emporter ce pouvoir.
De quoi le pouvoir a peur pour se comporter comme un bandit, un voyou détruisant chaque jour, sa propre image ? Pendant qu’il adule ses propres militants, il tue ceux des autres. Il s’est mis à dos tous les ivoiriens, même ceux de son propre camp, c’est pour prouver quoi à qui ? L’équipe élue maire de la commune du Plateau, veut se mettre au travail, déjà, ces tergiversations lui ont pris plus d’un an de retard.
Jacques Ehouo, n’a jamais été maire de sa vie, comme tout homme normal, qui se coud un vêtement avant de s’engager dans la politique, il a été un homme d’affaires, de quoi lui reproche-t-on dans la gestion de la commune ? De quelle malversation, l’accuse-t-on pour l’empêcher de travailler pour que d’ici, à la fin de son mandat, on l’accuse de n’avoir rien réalisé ? Je ne suis pas un homme de droit, mais, à tous les niveaux de la gestion d’une société, ce n’est pas le gérant qu’on poursuit, en cas de défaillance, mais c’est plutôt, la société. Pourquoi le régime ivoirien en veut à ce point, au nouveau maire du Plateau ? Ouattara n’a-t-il pas de parents dans le gouvernement ? Sont-ils tous sans tâche ? Avoir pour parent Akossi Bendjo, est-il un crime ? Si l’ancien maire du Plateau que tous les habitants de la commune réclament pour la qualité du travail bien fait, se trouve être son parent, c’est quoi, le crime ? Est-ce une abomination d’être ivoirien ou (Atchan) Ebrié et de surcroit, cadre militant du PDCI RDA, pour vivre l’enfer sous un régime ? Jacques Ehouo a été élu et reconnu, qu’on le laisse travailler que de continuer de le traumatiser. Est-ce que le préfet de la ville d’Abidjan, convoque tous les maires de la ville ? Pourquoi, autour de Jacques tant de convoitises qui se transforment, ne un harcèlement ? Arrêtons.
Le peuple de Côte d’Ivoire ne peut pas laisser cet opprobre infligé à la démocratie hautement obtenue par des grandes luttes. A la direction du PDCI RDA sa famille politique pour qui, il paie le lourd tribut de son attachement, le moment d’arrêter cette hémorragie a sonné. Maintenant que le président Bédié a fini de soutenir, sa femme pour l’organisation du gala annuel de la sociation Servir, il faut se tourner résolument vers cette forfaiture et arrêter cet esprit malin qui s’agite autour de son cadre, député et maire, à lui seul, qui fait honneur au combat politique. A sa famille biologique, les propriétaires terriens de la ville d’Abidjan, les vaillants peuples Atchan, trop c’est trop. Depuis que la Côte d’Ivoire a choisi votre site pour en faire la capitale, votre quiétude n’a jamais été aussi, salie, troublée que vous ne l’êtes sous le régime Ouattara. C’est la goutte d’eau qui va déborder le vase, si et seulement si, le pouvoir s’amuse à intimider le maire. Votre honneur, votre dignité et votre respectabilité sont écorchées et ce n’est pas normal.
Comme, le préfet veut absolument s’inviter dans la gestion de votre commune, accompagnez votre fils Ehouo, avec la fanfare pour qui que vous n’avez pas organisez encore la fête pour sa victoire, ce n’est point le moment, pour que le pouvoir vous gâche cette victoire. Montrez votre amour, votre solidarité. C’est l’histoire de votre et de notre vie qui s’écrit sous yeux. Le monde entier vous regarde.
Maintenant que le président Bédié a fini de soutenir, sa femme pour l’organisation du gala annuel de la sociation Servir, il se tourner résolument à arrêter cet esprit malin qui s’agite autour, de son cadre, député et maire, à lui seul, qui fait honneur au combat politique