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Gabon: Et si le président Ali Bongo, était à féliciter ?

Une certaine presse l’ayant présenté comme un fêtard, un amuseur public, au point où, la jeunesse africaine en proie à des vrais leaders a retenu en la fraîcheur de Ali Bongo, presqu’un inconscient et a failli lui jeter la haine, la traîtrise et l’opprobre.

Le président gabonais, reprend doucement du poil de la bête. Un hommage à un incompris qui en est conscient et qui dans le silence de sa gouvernance, travaille pour son peuple. Et si le président Ali Bongo était à féliciter ?

Depuis la diffusion de ces documentaires révulsifs, le silence total du côté de Libreville et pourtant, on y travaille dans l’intérêt supérieur de la population. Nous avons été inspirés à la suite du dernier congrès de son parti politique qui vient de s’achever.

Le parti démocratique gabonais, le PDG qui a tenu son 11ème congrès, ce dimanche 10 décembre, connait une vraie révolution, un nouveau visage car c’est une grande première en Afrique où tous les vieux sont accrochés à leurs intérêts et privilèges et ne sont pas prêts à lâcher du lest.  Là où, certains craignent à ne pas s’y aventurer, Ali Bongo, l’a réussi.

Notre intervention, n’est pas de blanchir quelqu’un qu’une partie de son peuple décrie, mais nous soulignons, les avancées notables dans un des plus petits états d’Afrique qui apprend à se construire tous les jours. Au lieu d’attendre plusieurs années pour clarifier ou déclassifier, nous portons un regard sur des acquis significatifs pour une Afrique qui avance.

Avant de rentrer dans le vif du changement politique gabonais qui nous interpelle, reconnaissons que depuis l’arrivée du fils, la France-Afrique a plié ses bagages pour se retrouver ailleurs. Juste, après la prise de son pouvoir, Ali Bongo avait montré des grands signes de changements, notamment, l’utilisation de la langue française qui faisait office de langue nationale et qui est adoubée par l’anglais. Des factures ou des crédits du pétrole à la société française Total dues au Gabon, ont été réclamées par le président Ali Bongo, fils et qui n’ont pas plu à la France, au point où, un froid a failli s’interposer entre les deux états amis.

Aujourd’hui, les allées et venues, les porteurs de valises contenant des liasses au détriment d’un peuple qui a tout pour vivre heureux et que ses dirigeants, sont obligés de servir en premier lieu la France, ont freiné la cadence. Des signes à encourager que nous saluons.

Revenons sur le changement qui nous a poussé à produire cet article, sur les résolutions du XIe congrès du PDG (le parti démocratique gabonais). La liste des départs est éloquente. A l’instar du président de l’assemblée nationale, Richard Auguste Onouvier, désormais, les jeunes auront des responsabilités à jouer et on sent la relève, ainsi, le président des jeunes, est Marius Assoumou qui a remplacé le bouillant médiatique Vivien Makaga Péa, la secrétaire générale en charge des femmes, c’est Chantal Mebaley. Il appartient donc à ces jeunes venus dans cette forêt où mêmes les fourmis ne veulent pas se laisser manger par les caméléons, de ne point donner raison aux détracteurs du président Ali Bongo, qui pour soutenir sa décision a dit et je cite : « Nous devons nous renouveler, y compris dans nos objectifs. Ouvrir les bras à la société civile, aux jeunes, aux femmes. C’est une question de représentativité. Le parti démocratique gabonais doit-être à l’image de la société gabonaise, en phase et non en décalage… »

Les réformes vont se poursuivre. En clair, poursuit le président du parti, Ali Bongo Odingba, plus de démocratie est nécessaire à tous les niveaux. C’est un passage obligé, la condition sine qua none qui doit permettre au parti de mieux se tourner, vers la société, dont il faut épouser ses préoccupations légitimes.

C’est un grand défi de changement pour un parti crée depuis 1967 par le père Bongo et dont tous les adhérents doivent converger dans le même sens, pour donner un bel exemple de démocratie. Si le parti est au pouvoir depuis sa création à nos jours, c’est qu’il crée la stabilité politique et sociale. Une œuvre n’étant pas parfaite, beaucoup reste à faire, certes, mais déjà, les premiers pas de cette innovation, doivent rassurer les uns et les autres, à se faire confiance et à travailler sans aucun esprit d’animosité, de concurrence, de haine, de clientélisme et de tribalisme, qui tuent les partis politiques en Afrique.

Un pan de courage vient de voir le jour au Gabon. Que les autres partis politiques africains qui sont à la croisée des chemins, s’en inspirent. Pour une Afrique qui gagne, le président Ali Bongo Odingba, vient de nous donner les preuves et les amorce. Désormais, nous avons les yeux tournés vers ce pays qui a tout pour faire vivre dignement sa population et accroître les signes d’une vraie émergence, pas verbale mais concrète, tangible et palpable. Alors, pour nous, le président Ali Bongo est à féliciter sur ce plan.

 Joël ETTIEN

Directeur de Publication 

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One Thought to “Gabon: Et si le président Ali Bongo, était à féliciter ?”

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