Ibrahim Coulibaly-Kuibiert, président de la CEI, en mission de sensibilisation.

Le président de la commission indépendante électorale, la CEI séjourne en Europe pour sensibiliser les ivoiriens de la diaspora à se faire enrôler pour prendre part au choix de leurs élus locaux.

Le magistrat hors grade, Ibrahim Coulibaly-Kuibiert, président de cette commission, source de tous les conflits liés aux élections en Côte d’Ivoire, ne veut plus que les anciens clichés qui relèvent les vieux et douloureux souvenirs se reproduisent et a pris son bâton de pèlerin pour anticiper en allant vers les ivoiriens de la diaspora pour leur parler des conditions de participations à ces futures élections à venir.

C’est celui qui a vu le lion de près qui court quand il entend des bruits ressemblant au cri de ce dernier, il appartient aux ivoiriens, dès maintenant de se faire enrôler pour ne pas dire demain que les résultats de ces élections ont été truqués pour provoquer des heurts sur le terrain. S’il a choisi la France pour sa tournée de sensibilisation, c’est bien parce qu’aucune élection ne s’y est passée librement. Elles ont toujours été émaillées d’incidents graves qui annulent les résultats.
C’est en 2025 que les élections présidentielles auront lieu et c’est justement le moment indiqué de leur donner toutes les garanties possibles à leur participation à ces élections à venir.

I.C.K, pour les intimes, a conscience de l’importance à rassembler tous les ivoiriens à prendre part à ces élections afin d’éviter les incitations sur les réseaux sociaux qui provoquent la haine.

Ce samedi 22 octobre, son représentant sera à Bruxelles pour la même mission et c’est parti pour démontrer la maturité politique des ivoiriens à ces élections qui sont devenues quasiment, des champs de tirs où on dénombre toujours des morts, alors que le vainqueur est choisi pour le bien-être des ivoiriens.

Faites-vous recenser, c’est le moment, dira-t-il à ses compatriotes de la France et pour y parvenir, il y a des documents à remplir, à savoir: avoir sa pièce nationale d’identité, à défaut, sa carte consulaire et une fois que toutes ces deux pièces sont obtenues dans le délai fixé par la commission électorale indépendante qui les fait parvenir à ses représentants sur place à Paris, qui procèdent à la distribution de ces précieux sésames pour prendre part librement à ces élections à venir.

Nous y reviendrons dans nos prochaines éditions.                                        

 Joël ETTIEN
                        Directeur de publication: businessactuality.com