Le monde évolue et l’Afrique regarde.
Le monde est en pleine mutation, seuls les africains ne voient rien et ne cherchent pas à s’adapter et vers la fin, ils seront les plus démunis et exploités. Tout évolue autour de nous. La guerre entre la Russie et l’Ukraine de démonstrations de la technologie nucléaire, qui consiste à un seul état équipé, d’être assis chez lui et détruire, une nation tout entière, les africains sont des spectateurs et inconscients.
Le monde bouge et les mentalités doivent suivre. Aujourd’hui, dans les grandes surfaces commerciales, on remplace petit à petit les êtres humains par des robots, l’administration n’existera plus. Les africains sont dans le laxisme, l’attentisme chronique et recevront, les résidus de ces trouvailles. Il n’y a jamais une éducation crédible adaptée aux nouvelles exigences mondaines et aucun pouvoir n’y songe pour anticiper comme font les pays développés.
Nous reviendrons sur la disparition des syndicats, mouvements sociaux corporatifs et cela se passe sur le nez et la barbe des décideurs africains qui voient mais ils attendent les trouvailles pour les consommer ?
Le Coronavirus a été presqu’une preuve de la sortie des laboratoires, des grands résultats sur les nouvelles technologies modernes qui vont remplacer le travail physique des êtres humains et le chômage va augmenter. Les présidents africains qui n’arrivent pas à juguler le taux d’inflation et de chômage, sont dans la traditionnelle conception des choses.
Aucune université africaine équipée pour permettre à la jeunesse africaine de booster sa connaissance aux modernités, parce que justement tout viendra de l’extérieur. Les africains seront à n’en point douter, les consommateurs éternels qu’on pourra éliminer par des produits toxiques de consommation, puisqu’ils ne contrôlent pas le contenu des produits de consommation extérieurs.
L’éducation et la formation qui constituent les clés de tout développement, ne sont plus des priorités en Afrique, et c’est la religion qui remplace les cerveaux, pendant que dans les autres pays, depuis le bas âge, on enseigne aux enfants la technologie de pointe. Un petit coréen sait manipuler un ordinateur, pendant que le petit africain qui a son âge, accompagne ses parents tous les dimanches à l’église. Ceux qui devraient rester longtemps dans les laboratoires pour des inventions, sont les bars, boite de nuit, les restaurants pour se livrer à l’alcool, à la prostitution et à la drogue. Que peut-on tirer d’une telle génération ?
Le monde évolue et comme la société abîme la jeunesse, l’empêchant de s’éveiller pour réclamer son dû pour sa formation et son éducation et que ce sont l’alcool, la drogue, la prostitution et la religion qui deviennent leurs préoccupations, les pouvoirs en tirent profit de cette stabilité pour régner sur des êtres qui n’ont pas de vision à court, moyen et long terme. Il faut changer de paradigme si les africains veulent devenir des êtres à considérer dans cette course effrénée de la démonstration des nouvelles technologies.
Les chinois sont capables de fabriquer des poisons à faire consommer aux africains. Les services africains de contrôle de la qualité ne feront rien. Ils sont tous dans le complot. Ils se laissent corrompre par ces grands groupes de fabrication de ces produits avariés souvent toxiques. Une vérité est que l’Afrique consomme plus de produits avariés qu’on ne le pense, parce que justement, l’État est défaillant, corrompu.
Il faut se réveiller pour rattraper l’évolution, car toutes les sociétés sont en mutation. Les africains seront les cobayes des pays développés, surtout des grandes firmes pharmaceutiques.
Joël ETTIEN
Directeur de publication: businessactuality.com
