Corruption à AbidjanCÔTE D'IVOIRE 

Savoir apprécier, n’est pas synonyme d’achat de conscience.

L’ivoirien est comment pour se mettre en perpétuel conflit avec lui et ne voit pas le temps qui passe avec ses qualités pour booster le développement de son pays ? Savoir apprécier, n’est pas synonyme d’achat de conscience.

Nous avons fait un constat provenant souvent des grandes plateformes comme whatsApp. Ils ne proposent rien et leurs critiques résident dans le déni.

Pour un pays qui se veut créatif par le talent de ses populations, ses Hommes ne doivent pas s’éterniser dans des souvenirs douloureux où quand on ne partage pas la même opinion, cela devient une blessure pour les autres, parce qu’on ne va pas dans la même direction. On n’est pas dans un système de pensée unique. La démocratie recommande la diversité d’opinion, d’idées. Les injures ne sont pas une source de développement physique et moral. Cela ne donne pas droit au favoritisme et à la promotion d’un clan au détriment des autres. C’est ensemble qu’on construit une nation.

La confusion qui règne dans les discussions, nous ramène à établir la relation d’un nouveau type d’ivoiriens, qui n’est pas prêt à regarder la vie et l’apprécier à sa juste valeur. C’est parce que c’est sous le président Ouattara que tous les projets qui se réalisent, ne doivent pas s’apprécier? Alors, les autres qui se disent opposants, ne se donnent pas le temps, de l’apprécier et pourtant, ce sont des gros œuvres qui participent à n’en point douter à l’avancement du progrès de ce pays. Emportera-t-il tous ces gros réalisés, initiés ou en cours de réalisation ? 

Tout se politise en Côte d’Ivoire et dans le mauvais sens. La notion de la real politique est déguisée et devient des problèmes de personne. On n’arrive pas à faire la part des choses et certains se constipent en esprit et à force de vouloir attendre leur consentement qui ne vient pas, le pouvoir agit selon son inspiration. La promotion du pays qui se dégage et où chacun doit y contribuer, non, ce sont toujours dans le déni, parce que c’est Ouattara qui l’a fait ou qui est là, alors tout ce qu’il fait, est biodégradable.

On confond la politique du développement à des problèmes de personne et c’est vraiment dommage, pourtant, dans cet élan de construction et d’éveil, tous les ivoiriens y ont leur place, il suffit seulement d’avoir de l’innovation, de l’invention et du talent à proposer.

Etre opposant en Côte d’Ivoire donne l’impression d’une manifestation de jalousie, alors que la jalousie entraîne la haine et la haine entraîne à son tour, la sorcellerie. Est-ce à dire que certains ivoiriens sont devenus des sorciers ?

Un pays se construit avec l’apport de tous et dans la dynamique accompagne l’État dans ses recherches et la promotion des travaux de développement. Heureusement que le président Ouattara a compris et ne laisse pas démotiver par ceux qui, le voient toujours en songe en train de dévaster leur champ.

Il faut sortir de ce bourbier qui n’apporte rien personnellement et familièrement. Il faut en finir avec la haine et regarder la vie avec opportunisme sinon, l’essentiel passera par beaucoup d’ivoiriens qui ne reviendront que plus tard et ça sera trop tard. 

Il faut ouvrir son cœur à l’ouvrage car voir la forêt ne signifie pas l’avoir traversée. Même quand l’ennemi fait quelque chose qui est bon, il faut le reconnaître et cette attitude n’est pas une faiblesse. Les débats et échanges sur certaines plateformes ne sont plus à la hauteur des attentes d’un pays qui se veut émergent et solidaire.

Dès qu’on sort de l’émotion pour se mettre sur une autre dimension d’observation, on vous taxe de vendu, alors s’il faut que l’ivoirien se vende à ce point, vaut mieux cette vente pour laisser des traces. Il faut cesser de s’obstruer et voir la réalité qui continue et n’attend personne que les investisseurs. Une opposition ne s’intoxique pas, elle critique et propose.
                                   

Joël ETTIEN
                    Directeur de publication: businessactuality.com

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