Sénégal: Qu’ils soient des supers polygames, on les préfère aux homosexuels.
Le peuple souverain du Sénégal s’est doté de nouvelles autorités pour gérer son destin. Que celles-ci soient super polygames, il faut les laisser tranquille travailler, ce n’est pas ce qu’on n’a jamais vu dans ce monde car elles au moins, ont eu le courage de s’afficher avec leurs épouses et on les préfère aux homosexuels.
Les médias occidentaux qui voient d’un mauvais œil et l’expriment de manière officielle, ici c’est l’Afrique. Ces autorités de haut niveau au Sénégal doivent plutôt prendre de la bonne graine que se vautrer dans des jugements qui n’apporteront rien. Quel homme peut jurer ne pas avoir de petites amies en dehors de son foyer? Qu’il lève le doigt. En plus, quand on parle de perversité, chez qui doit-on aller en premier? Si ce n’est chez eux les européens, sur ce sujet, qu’ils se gardent de leurs conseils ou remarques.
Depuis que le nouveau président du Sénégal a prêté son serment, au lieu de vanter sa fraîcheur, sa détermination, son courage, son mérite et sa vision qui l’ont motivé à briguer la magistrature suprême de son pays, certains occidentaux se faisant passer pour des spécialistes des questions africaines et se pavanent de plateaux en plateaux pour ne faire que dénigrer de manière ironique son statut polygamique. Qu’est-ce qui est nouveau sous ces tropiques qui doivent fâcher? Les nouvelles autorités du Sénégal doivent être fiers de ce statut. Comme s’il n’y avait que ça dans son programme de société. Qui sont ceux-là de ces européens mal inspirés et s’éloignant de leurs problèmes qui se donnent autant de zèle à minimiser l’arrivée de ces jeunes loups sénégalais, veillent à réguler leur vertus travesties de perversité où les hommes se marient entre eux et les femmes se marient entre elles, en afrique, c’est proscrit.
Il faut les laisser tranquille car, si en France, le fait d’avoir des homoxuels à la tête de ce pays, autrefois modèle de bonnes vertus, est considéré comme un signe de la consolidation de la démocratie, en Afrique par contre, ce statut d’homo, est proscrit et on préfère encore des polygames à ce phénomène social que nous considérons de pervers. Ils oublient qu’ils sont de confession musulmane où cette pratique est autorisée. Tout bon musulman qui en a les moyens peut aller jusqu’à quatre femmes, ils n’ont que deux chacun et on les préfère. Ce n’est pas leur statut qui sera le fond de leur programme de société, alors qu’ils les laissent travailler.
L’homosexualité n’est pas une vertu à singer.
On veut les voir à la tâche et ils ont beaucoup de challenge, qu’on les laisse tranquille. Eux au moins, peuvent procréer et les africains ne s’en plaignent pas, alors que les donneurs de leçons se dressent contre leurs pratiques d’homosexuels.
Ou bien, c’est le fait de montrer leur bonne foi, leur sincérité qui les gênent? Ils ont proposé un programme pour lequel, on les attend, alors, s’il vous plaît, lâcher leur les baskets. Si c’est occidentaux croient que l’homosexualité est une vertu pour laquelle, ils n’ont aucun honte et gêne à s’afficher, les africains sont heureux de partager leur amour à ces milliers de femmes qui chôment sexeullement et qui ont besoin d’amour et partage.
N’est-ce pas la détermination de ces jeunes à vouloir tout remettre en cause qui leur suscitent ces commentaires démesurés, mais quant à nous les africains, on s’en moque de leur regard. Aujourd’hui, on ne se nourrit plus de leur savoir pour conduire la destinée de l’Afrique alors, s’ils ont des leçons à donner, qu’il les donnent aux pédés et aux homosexuels pour équilibrer leur société vieillissante.
Nous pensons nous faire entendre, ils avaient de bonnes mœurs, l’Afrique ne sera pas à ce jour déséquilibrée. En Afrique, on respecte les autorités et leur vie privée reste un domaine diamétralement confidentiel. Nous voulons que cela soit clair, on ne gouverne pas selon la tradition des autres, mais selon nos propres traditions qui motivent les convictions.
On est fatigué de recevoir toujours d’eux, des pratiques qui nous ont éloignés de nos valeurs, pour cette fois, que l’occident garde ses leçons. Obéissez les us et coutumes des autres et comme ça, on pourra avancer selon les règles de chacun. Désormais quiconque touchera aux valeurs africaines, nous trouvera sur son chemin.
Joël ETTIEN
Directeur de publication : businessactuality.com