Afrique: Le noir africain n’est pas une chair à canon.
Les africains noirs ne sont pas de la chair à canon dont on vient les utiliser et à la fin, on les jette en pâture. L’Afrique n’est pas un laboratoire qui fabrique des inconscients à livrer à la chienlit pour se transformer en chair à canon pour des ingrats. L’histoire nous a enseigné que ces africains étaient assis chez eux et qu’ils étaient venus les prendre de force pour aller combattre chez eux, afin qu’ils recouvrent la liberté et en retour, on leur servit, de l’ingratitude. Quand ces noirs se sont fait massacrer parce qu’ils ne maîtrisaient pas les armes à feu, voulant se servir de leurs gris gris, aucun de ces dirigeants qui ont contraint à cette force, n’a été capable de reconnaître ce mérite. Ils ont d’ailleurs voulu assujettir ce joyeux peuple. Ils les ont montrés comme des bêtes de foire, parce qu’ils ont la peau noire. À force de les maltraiter, leur descendance ne se retrouve pas croyant que tout ce qui est noir, n’a pas de valeur.
L’Afrique n’est pas un laboratoire pour former des hommes appelés à mourir à la place des autres. Elle a ses propres règles de fonctionnement et ses dirigeants doivent avoir le courage de s’afficher comme tel. De cette conception inhumaine et cruelle, ses propres enfants sont devenus des loups contre son développement.
L’Afrique n’est pas ce peuple qui doit d’abord faire plaisir aux autres avant de penser à soi-même. Pendant que chez eux, il y a des libres penseurs, des vrais intellectuels, en Afrique tout est galvaudé, méchant et en voulant mettre en priorité ces valeurs importées, certains africains sont devenus de vrais destructeurs des vertus et les règles de vie qui étaient si exemplaires autrefois.
Comme des chaînes attachées à leurs cerveaux, qui pour s’en défaire, il faut leur faire la part belle comme ça on rentre dans leurs loges, l’africain n’est plus humain, incapable de réfléchir de ses propres méninges si les ordres ne viennent pas de l’extérieur.
L’Afrique n’est pas libre. Elle est à la recherche de cette liberté qu’elle a en son sein, mais comme elle a donné son pouvoir à ces maltraitants, ses geôliers qui piétinent ses valeurs, pillent toutes ses ressources, c’est maintenant que ceux qui sont nés libres, sont en train de forcer les portes de sa prison pour la faire sortir de là et ce n’est pas facile, ceux que nous appelons de tous nos vœux, les panafricanistes.
Quand il s’agit d’eux, les dirigeants africains doivent les prioriser d’abord peu importe ce dont leur peuple souffre et à la fin, ils leur tournent le dos, ce qu’on appelle de l’ingratitude et ils ont contraint ces africains à les subir pour ne plus être eux-mêmes, mais on ne peut pas leur ressembler. On peut à la rigueur composer des métissages, mais jamais, on ne se ressemblera pas, alors pourquoi tant d’efforts pour sortir par la porte de l’ingratitude?
Ils ont tout rasé chez le noir, sa culture base de prise de conscience de tout peuple et en allant, ils ont laissé leurs religions dont ils ne pratiquent plus chez eux et les africains se les ont tellement appropriées qu’à la fin, leurs seigneurs pris de colère, sont partis donnant l’impression que dans les édifices religieux, il existe des dieux protecteurs. Comment peut-on faire croire que les africains doivent attendre les bras croisés l’arrivée de leurs dieux, sans aucune lutte et de prise de conscience que ces seigneurs viendraient faire leur palabre pour obtenir leur liberté?
Voilà qu’il provoquent leurs guerres et ce sont toujours les pauvres africains qui vont servir de chair à canon, il faut que cela cesse. L’Afrique n’est pas un laboratoire de fabrication de chair à canon.
Joël ETTIEN
Directeur de publication : businessactuality.com
