Afrique: Les tests ADN ont existé depuis que la science existe.
Les tests ADN ont toujours existé et c’est maintenant que certains africains les découvrent et ils font des ravages dans certaines familles. L’ADN, c’est quoi et qu’est-ce que ça veut dire? C’est l’abréviation d’acide désoxyribonucléique. C’est aussi une longue double chaîne de molécules en spirale qui compose les chromosomes. On parle aussi d’hélice d’ADN. Pourquoi et à quoi servent-ils? L’ADN fournit des instructions qui commandent la synthèse des protéines; ce sont les gènes. Ce sont des unités de l’hérédité, ils déterminent ce que nous sommes et comment nous fonctionnons (couleur des yeux, groupe sanguin.)
Nous ne voulons pas ici, faire une étude scientifique de ce système, mais relever ses conséquences qui détruisent des familles. L’ADN existe depuis que la science a existé. Dans les grands pays, on s’en sert à la suite des gros litiges familiaux et dans ce cas, c’est la justice qui le recommande pour vérifier la paternité quand il s’agit des enfants. Et c’est ce volet qui est en train de diviser des familles qui semblaient homogènes et unies.
De tout temps, ma maman n’a de cesse de son vivant de me prodiguer ces conseils que je vous partage en ce jour dans ces écrits: « Mon fils, dit elle, ne fais jamais le gendarme derrière une femme, si elle veut te tromper, tu ne le sauras jamais car la fidélité de la femme, réside dans sa discrètion, en plus, c’est la mère seule qui a porté sa grossesse qui sait qui est le véritable père de son enfant .» Ma mère ne vit plus, mais le monde aussi n’a pas changé.
Tout est souvent des abus dans le comportement des africains. Il leur suffit de peu, pour singer, copier servilement sur les autres. Aujourd’hui, des grandes familles sont en train de se disloquer parce qu’avoir découvert qu’il existe des tests ADN, elles en abusent. Il se trouve que les enfants qui ont des âges avancés, ne sont pas de leur père à partir de ces tests ADN. On parle de père biologique et ce qui était considéré comme confidence se retrouve au grand jour.
On fait de l’abus dans l’utilisation des nouveautés. La plupart des femmes qui posent ces genres d’actes, ne le font pas souvent pour discréditer leurs époux. Elles savent souvent des anomalies de procréation de ceux-ci et pour cacher, elles font ce qui est en leur pouvoir pour combler et plus tard, tout s’écroule. Il faut aussi que ces femmes sachent raison garder et ne pas trop se confier à des amies, copines qui peuvent vendre la mèche quand elles voient l’opulence, la richesse dans lesquelles, certaines baignent.
Sur ce sujet, nous n’avons aucune ambition d’encourager l’infidélité des femmes, mais, c’est un phénomène qui ne peut pas prendre fin. S’il n’y a pas de besoin, pourquoi créer des problèmes là où il n’y a pas? Nous savons par contre que pour que des parents naturalisés belges puissent faire entrer leurs enfants en Belgique, la loi belge exige un test ADN, mais il y a une contrainte, sinon pour rien, on exige des vérifications de paternité, c’est à force de vouloir trop creuser qu’on se fait du mal.
En conclusion, nous ne sommes pas contre les tests ADN, mais de son utilisation abusive pour rendre des comptes, pour diviser des familles, c’est ce qui nous interpelle.
Comme le disait maman, la fidélité de la femme réside dans sa discrétion et évitons de rendre la vie compliquée aux enfants dans des familles où tout va bien. Que ferait-on des enfants adoptés?
Joël ETTIEN
Directeur de publication: businessactuality.com