N'guessan Ahondjon, député d'ArrahA LA UNE RUSSIE INVESTIGATION 

Côte d’Ivoire : N’guessan Ahondjon, l’élu au cœur généreux et à l’écoute de ses parents.

On peut ne pas l’aimer, mais le député d’Arrah et PDG de New entreprise, M. N’guessan Ahondjon, est un véritable opérateur économique qui développe sa région, en étant à l’écoute de ses parents. Qui est l’homme que nous avons découvert, en plein chantier sur le terrain?

Pour le peu que nous nous sommes procurés comme renseignements, le député d’Arrah, travaille en ayant la main sur le coeur car, il ne se passe jamais de sollicitude, sans qu’il ne mette la main dans la poche. Il a sauvé plusieurs vies, des malades, sans compter les réalisations, la réhabilitation des écoles, création de pompes villageoises, d’ambulances pour transporter les malades d’urgence, des routes, la scolarisation des élèves et étudiants dont il a la charge. Il n’y a pas de village, où il n’a pas laissé ses empruntes à travers des réalisations socio-économiques- culturelles et autres infrastructures routières.

Dans le Moronou, on le conte comme une fée à cause justement de sa générosité qui a laissé des traces qui constituent des bienfaits. Les populations avaient voulu lui témoigner, leur reconnaissance pendant les élections régionales et malheureusement, il n’a pas été désigné par son parti au détriment de Affi N’guessan qui a lamentablement échoué face à la femme de fer du PDCI RDA, madame Aka Véronique, surnommée la femme-garçon dans le Moronou. Cette défaite a d’ailleurs contribué à faire baisser les ambitions de Affi N’guesan qui a fait ses adieux politiques dans le Moronou, la charge revient au député N’guessan Ahondjon de relever les défis pour son parti politique le RHDP.

Il continue de faire du bien autour de lui et dans la félicité de son coeur, aujourd’hui, il ne passe pas inaperçu dans la région où il a logé le siège social de son entreprise dénommée: « New Entreprise » qui emploie des milliers de jeunes dans la région. Un jour, nous raconte un vieux à  qui, il a rendu service, dit-il: «  ma femme ne se sentait pas bien et les ordonnances devenaient trop lourdes à supporter et je ne savais vers qui, me tourner, ce n’est pas vers le médecin qui a prescrit l’ordonnance, encore moins les passants. C’est là  qu’un ami, me dit d’aller voir, le député d’Arrah, M. N’guessan Ahondjon, peut-être qu’il me donnera un coup de main, mais comment me rendre à Arrah? Moi qui habite à  Bongouanou et Arrah, il y a une bonne dizaine de kilomètres. Je prends ce risque car en cours de route, je me disais mais je ne le trouve pas, je fais comment? Il était ce jour-là , midi et le soleil brillait de toutes ses forces, nous dardait ses rayons ardents qui distillait de la chaleur, ma femme est mourante. Je m’embourbe dans une voiture de transport de personnes pour Arrah.

Dans cette voiture, je n’arrêtais pas de dire au chauffeur de le laisser non loin de la résidence du député et nous arrivons vers 15h, à Arrah et le chauffeur me dit de descendre et de prendre tout droit, que la résidence du député était la seule qui surplombe la hauteur de la petite colline. À peine devant le gros portail qu’une cohorte de voitures de type 4X4 sortent. Je ne l’ai jamais vu. À mon niveau, une voiture se gare et c’est lui qui baisse la vitre teintée de sa belle voiture et qui s’adresse à  moi en ces termes:  bonjour papa, qui êtes-vous venu voir; je lui réponds avec une voix en rouillée de panique. Un petit dialogue s’engage et vers la fin, il descend et m’invite à  le suivre. Dans le salon, après m’avoir donné à boire, il me tend un paquet et il reprend sa voiture. Étant seul, c’est dehors que j’ouvre le paquet et c’est la somme de 500 000 frs en billets de 5000 sentant l’odeur fraîche de la banque.

Je ne m’y attendais pas, pour des ordonnances qui ne dépassaient pas les 50 000 frs. Depuis ce jour, je n’arrive pas à  le voir, pour lui témoigner sa gratitude. Grâce à lui, sa femme a recouvré la santé et il m’a redonné ma dignité d’homme. » C’est comme ça qu’il fait parler son cœur, témoigne un de ses chauffeurs. Il sait partager et il est à  l’écoute de ceux qui souffrent. Les témoignages du genre, dans la région, c’est un refrain qui compose presque des mélodies, qui inspirent les chansonniers de la région et qui le lui rendent à  merveille.

Comme on le dit chez eux les agni, l’insecte qui attire l’eau, on ne le tue pas, on le bénit et c’est ce qui se passe dans sa circonscription. Nous avons estimé utile d’évoquer ses bienfaits, ses largesses pendant qu’il est temps. Hommage et témoignages dans le Moronou à  l’égard de M. N’guessan Ahondjon, c’est comme des pépites et à  chaque occasion, c’est comme un hymne régional, son nom ressort dans les chansons. Si j’avais une biographie à  lui consacrer, je l’intitulerais: «  la politique s’est imposée à  moi.»

Dieu veille!

                             Joël ETTIEN

            Directeur de publication: businessactuality.com

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