A quel jeu joue la CPI?INVESTIGATION 

LETTRE OUVERTE A LA COUR PENALE

                                                                  Vitry, le 30 Janvier 2023

Jean BLEZON – Écrivain

37, Rue Vercingétorix

94400 Vitry-sur-Seine (FRANCE)

À Monsieur le Président

   De la Cour Pénale Internationale

Oude Waalsdorperweg 10,2597AK Den Haag, Pays Bas

Objet : Lettre ouverte Aux représentants de la C.P.I. Sur les tueries déclenchées par la France, l’ONU, L’OTAN et la rébellion en Côte d’Ivoire, de 2002 à 2021.

Monsieur le Président,

Je viens respectueusement, par cette correspondance, vous exposer des faits concernant la guerre déclenchée par la France, à l’installation d’Alassane Dramane Ouattara par la force en 2011 sur la Côte d’Ivoire.

Mais avant d’étaler ces faits avérés que la Côte d’Ivoire a subis, permettez-moi de dire un mot sur ma personne : je suis Jean Blezon, né le 15 juillet 1932, esclave de la France devenu Français de seconde zone. Aujourd’hui, je suis écrivain pour un second travail ; autrement dit, je suis retraité. À treize ans, j’ai commencé à travailler comme esclave de Blanc français ; ce travail se faisait en réquisitionnant des personnes à coups de crosse de fusils. C’est de cette manière que mon père a été réquisitionné pour les travaux durs de l’esclavage. En ce temps-là, j’avais deux ans et demi. Mon père a été par la suite réquisitionné pour être transporté en Allemagne, en vue de participer à la guerre pour la libération de la France du Général de Gaulle. Nos parents ont combattu en tant qu’esclaves pour la France. Cette France-là peut se permettre de tuer des esclaves et rien ne pourra l’arrêter ! Car elle voit en l’Afrique une zone de son bétail, si bien que chaque année elle choisit ? Qui ira à l’abattoir pour être sacrifié.

Pourtant, l’Afrique aime la France depuis nos aïeux, depuis le temps de l’esclavagisme. Malheureusement ses enfants ne sont pas acceptés par cette dernière. Sur leur propre terre, c’est encore pire ; les pièges de la France sont nombreux quand nous parcourons l’histoire.

Vous comprendrez, Monsieur le Président, qu’aujourd’hui dans certains pays d’Afrique, tels que la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Togo, le Cameroun et j’en passe, c’est le gouvernement français qui dirige. Aujourd’hui, en effet, c’est en faisant couler le sang des Africains que le gouvernement français puise les ressources de ces pays. Même pour mieux tuer les Africains, les présidents français ferment les banques et mettent un embargo de médicaments. Cela a été le cas de la Côte d’Ivoire.

Il est vrai qu’après le partage du continent africain en 1885, l’Europe a fait le commerce de l’Homme pour s’enrichir, c’est-à-dire vendre l’être humain quand il est fatigué de le tuer. Ce travail qui a enrichi toute l’Europe, reprend ses activités aujourd’hui au XXIe siècle sur la Côte d’Ivoire. Où voudrais-je en venir ?

L’État français a fabriqué une rébellion au Burkina Faso depuis 2001, laquelle a commencé à tuer en Côte d’Ivoire à partir de 2002. On dénombre1 500 000 Ivoiriens morts entre 2OO2 et 2021, même si l’on nous cache la vérité des chiffres. Dans cette guerre que la France a déclenchée contre la Côte d’Ivoire via la rébellion, elle a divisé le pays en deux avant de venir bombarder la résidence présidentielle. Puis elle a pris de force le président Laurent Gbagbo pour l’emmener répondre à sa place à la Cour Pénale Internationale (CPI), des crimes qu’elle a commis. Sans compter qu’elle coupé des têtes – en 2021 à Daoukro –, sous les yeux de la communauté internationale. Tout ceci, à cause des intérêts que la Côte d’Ivoire possède. Et l’État français compte répéter ces mêmes tueries sur la Côte d’Ivoire à l’horizon 2025.

La France n’est pas seule. Pour être sûr que je ne dis pas de baliverne, je joins à cette lettre, la deuxième partie du discours d’un Illuminati sur la Côte d’Ivoire. Elle montre comment vous avez préparé la destruction de mon pays à travers votre émissaire placé à sa tête actuellement.

Avec le discours d’un Illuminati sur la Côte d’Ivoire nous a permis de voir que toute la communauté internationale comme vous, vous êtes tous complice à la destruction du pays des ivoiriens. 

Pour terminer, je rappelle ce diton africain que certainement vous connaissez : « Si tu traites avec un saint plusieurs années et qu’il pense à ta destruction, dans ce cas il faut traiter avec le diable. »

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la Cour Pénale Internationale, l’expression de ma plus haute considération.

Jean Blezon –Écrivain

Pièces jointes :

La 2e partie du discours d’un Illuminati

Une copie de la lettre adressée à l’ONU

Un exemplaire du livre intitulé : ‘’Le procès de la Honte’’ sur le Président Gbagbo

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