Un gendarme tuéINVESTIGATION 

Lutte contre la drogue: Un gendarme tué, le procureur militaire Ange Kessi pas content.

Un gendarme ivoirien a été froidement tué par un dealer et cela a mis le procureur militaire Ange Kessi dans tous ses états. Il faut mentionner qu’une de ses raisons, c’est le manque de port par balles qui leur est imposé et que certains agents ne les portent pas quand ils vont à des patrouilles. Si le gendarme qui a été tué par balle, avait porté son gilet par balle, il serait encore en vie.

Un gendarme tué dans un fumoir

Ange Kessi est déterminé à lutter contre les trafiquants de la drogue qui veulent absolument ériger la Côte d’Ivoire comme leur base, une plaque tournante. Dans sa détermination, le procureur Ange Kessi se montre intraitable, c’est pourquoi, ce que l’état met à la disposition de ces forces de l’ordre, ceux-là, doivent en faire bon usage.

C’est un jeune de 24 ans qui a tiré à boulet rouge sur le gendarme qui n’a pas pu survivre. L’opération s’est déroulée en pleine journée à quelques kilomètres de la ville d’Abidjan et le procureur militaire du gouvernement, se montre encore incisif à l’égard de ses forces de l’ordre. Désormais l’agent qui ne porterait pas son gilet par balle serait passible de sanction.
Depuis quelques moments, la Côte d’Ivoire est en passe de devenir la plaque tournante de la drogue et il faut sévir.

Des traques se font à toutes les frontières, mais cela ne décourage pas les dealers qui continuent leurs sales besognes. En tout cas, pour le peu que nous dégage le procureur du gouvernement, ça sera œil pour œil, dents pour dents.
Il est idoine de les soutenir dans ces missions délicates qui concernent tous les ivoiriens. Ils ne peuvent les contrer que si la population les y aide. Ainsi, le procureur n’a pas daigné reconnaître et remercier ceux par qui, le signalement a été fait pour orienter les forces de l’ordre à l’assaut.

C’est de cette manière collégiale et c’est ensemble que tous les ivoiriens pourront participer à la lutte contre la drogue qui souille la réputation des ivoiriens. Il faut stopper ces trafiquants qui veulent faire croire que la Côte d’Ivoire est poreuse et qu’ils peuvent y se permettre de tout.

La colère du procureur doit interpeller les uns et les autres à conjuguer leurs efforts pour que ces stocks de drogue puissent être signalés et détruits. 

Dans cet élan, il faut signaler le courage des services de lutte contre la drogue qui arrêtent même des officiers supérieurs mêlés à ce trafic. Cela fait partie de la corruption qui gangrène les caisses de l’état.

Il faut lancer un appel à l’endroit de ces trafiquants que les forces de l’ordre ivoiriennes sont déterminées à les contrer et les contrevenants le paieront cher.                                                

Joël ETTIEN
                          Directeur de publication: businessactuality.com

Related posts

Leave a Comment