Sécurité sanitaire: Que les chefs d’état africains, prennent leurs responsabilités pour protéger les chercheurs africains.
Pour éradiquer le virus, des chercheurs africains s’y sont mis, que les présidents africains les préservent de toute tentative d’assassinat.
Il faut encourager les chercheurs africains
Le virus corona défie la médecine moderne et les spécialistes, et chercheurs de haut niveau sont dans leurs laboratoires à la recherche du médicament qui pourrait l’éradiquer. Le monde entier attend et veille tout en comptant la mort des inconnus comme des sommités. Il confine le monde à leur domicile et sa virulence n’a pas de religion, ni de race.
C’est la course contre la montre et les grands laboratoires pharmaceutiques ont déployé de gros moyens pour trouver soit vaccin et médicament. Pour une fois, les chercheurs africains s’y sont mis.
Pour preuves, une équipe composée de chercheurs burkinabè, de béninois et belges a proposé un document portant sur les tests du diagnostic du COVID-19. A ce jour et depuis la tenue de la session extraordinaire du Haut Conseil de la Recherche Scientifique et de l’innovation et l’adresse du chef de l’Etat à la nation, la communauté scientifique s’est mobilisée au niveau du Burkina pour apporter sa contribution en matière de recherche et d’innovation à la lutte contre la maladie du corona virus.
Ainsi, des chercheurs burkinabè et béninois ont proposé un essai clinique d’un phytomédicament : Avipirine.
Vers une solution?
Qui ne se souvient pas de l’époque du sida quand, des africains s’y sont mis et certains étaient très proches, comme le ghanéen nanan Koffi qui a été assassiné parce qu’il était noir. Son approche était avérée de proposer au monde entier le médicament qui pouvait tuer le virus du sida. Aucun chef d’état africain n’a pu protéger ces chercheurs sans protection et le sida a tué plus de noirs.
Voilà un autre cas de pandémie du siècle, le virus corona. Certains chercheurs africains sont la bataille et comme il ressemblerait au paludisme, tout ce qui est à base de quinine ou chloroquine seraient des antidotes. Il faut que pour cette fois-ci les chefs d’état africains doivent tout faire pour protéger ces chercheurs africains.
L’OMS dit que si le virus arrive en Afrique, il fera beaucoup de ravages, alors si pour une fois, des chercheurs africains se rapprochent de la vérité et de la trouvaille, il faut tout faire pour les protéger.
Joël ETTIEN
Directeur de publication : businessactuality.com
