Si les médias ne parlent plus des terroristes, ils continuent de semer la terreur.

A cause de la guerre en Ukraine, on ne parle plus des atrocités que vivent les populations africaines qui sont tuées en longueur de journée par les djihadistes et terroristes. Parlons-en.

Jamais de mémoire d’homme, un président ne s’est donné à cœur ouvert pour parler de ce que vit sa population et le président Kaboré du Burkina, l’a fait et cela a ému tout le monde.  Pendant ce temps, au Mali, on a tenté à la vie du garde du corps principal du président Assimi Goïta. Les profiteurs de cette zone sont en train de faire subir le pire des moments à des populations dont certaines dorment encore dans les arbres pour éviter de subir les atrocités de ces tueurs à gage.

Comme ces populations en ont marre de la présence des armées étrangères qui favorisent la formation de ces terroristes, maintenant l’heure est à la prise de conscience collective des africains et les jeunes loups arrivent. Les médias européens ne parlent plus de ce qui se passe dans ces zones meurtrières africaines.

Il ne se passe pas de jours sans que ces tueurs ne pénètrent dans les zones les plus reculées pour les tuer au point où d’après le président burkinabè, certains de ses compatriotes mangent les feuilles des arbres, et les enfants meurent de malnutrition. 

Pourquoi cette cruauté envers les africains ? Comme ils ne sont pas unis, on les défragmente en longueur de journée et aucun média européen, n’en parle. Alors, à travers ces lignes, nous rappelons que les djihadistes et terroristes continuent de semer la terreur dans les villages du Burkina, du Mali, du Niger, ect.

C’est l’occasion d’inviter les chefs d’état africains à se pencher sur ces souffrances et trouver des solutions car ils sont en train de regagner leur base.

                                                   Atchory Alexandre

                                   Correspondant permanent à Abidjan