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Afrique: Il faut bannir toutes les organisations politiques qui assujettissent le développement

Pour que l’Afrique parle dignement à son propre nom, il faut qu’elle se débarrasse de ces organisations moribondes qui sont contre ses intérêts, comme l’union africaine, l’UA, la CEDEAO, l’UEMOA, la CEMAC et j’en passe, sinon, tous ces efforts seront comme une toupie qui roule sur une natte.

Tout être humain fait son bilan de santé chaque année, il y en a qui le font tous les 6 mois, pourquoi ces organisations ne font pas pareil?

Comme ces présidents africains sont friands de cadeau, même la construction des sièges de ces organisations, ils tendent toujours la main vers la Chine qui les truffe de micros et d’autres appareils dans ces amphis pour les espionner. En dehors du combat pour sortir du juron français avec ses corollaires d’asservissement, comme la monnaie, la diplomatie, la défense qui sont détenues par cette même France, il faut que les présidents africains se fassent respecter par les autres à partir de ce grand vent qui pulvérise la partie francophone.

La France fera tout, mais elle ne pourra jamais fermer la bouche de ces africains victimes des atrocités de ces systèmes imposés et incapables de comprendre l’évolution du mode pour s’y adapter.

En Côte d’Ivoire, on sent un petit vent de prise de conscience dans la pratique. Dans les discours, on parle souvent de la transformation des produits locaux, même si le président Ouattara ne veut pas toucher les plaies chroniques qui pourrissent la vie des africains, en parler déjà, n’est pas mal. Il faut bannir ces organisations politiques qui sont une entrave au développement du continent africain.

L’UA, la CEDEAO, la CEMAC, l’UEMOA et j’en passe, ne sont plus adaptées, il faut les supprimer toutes et laisser libre-court aux africains de disposer d’eux-mêmes, de ce qui les arrange. Sur ce sujet, Ouattara peut actionner cette prise de conscience qui lui sera bénéfique car il rentrera dans l’histoire, sinon, il sera toujours obligé de discuter avec des enfants dans les prétoires.

Rien de ces organisations politiques ne sont productrices que pour ses bailleurs et non pour les africains. Il faut en parler et fermer toutes ces boutiques qui paient cher certains cadres africains pour les servir et non servir les causes africaines. Là encore, ce n’est plus un secret pour personne, c’est celui des présidents qui ne le comprendrait pas, qui sera toujours secoué par des nouveaux vents.

Toutes ces organisations sont contre-productives pour le développement de ce continent qui a tout et qui souffre.
Même si aujourd’hui, certains décrient l’inefficacité de l’ONU, ce n’est pas ces trucs qui fragilisent l’Afrique dont il ne faut pas en parler. L’UA et toutes les autres organisations doivent disparaître, elles sont contre l’avancement de l’Afrique.

Comment expliquer que depuis des longues années, les bras valides et cerveaux africains vont mourir sur les eaux et parfois subir les frustrations des arabes qui ne disent rien à aucun président africain, c’est parce que ces lieux où ils prennent les grandes décisions sont tenues par ceux-là qui ne veulent pas du bien à cette jeunesse qui a mal et qui le crie tout haut. Ces lieux où ils prennent des décisions sans qu’elles ne soient sues par les oligarques européens, ne sont plus sûrs.

Il faut changer et compter sur cette nouvelle classe d’africains qui secoue les vieux clichés pour en faire des vrais leviers de changement pour activer le développement. Si ces organisations persistent pour exister, l’Afrique ne se portera jamais bien et les coups d’état aussi ne finiront jamais et vers la fin; c’est la France qui va tout perdre.                                                     

Joël ETTIEN
                                    Directeur de publication: businessactuality.com

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