stop aux violences conjugalesINVESTIGATION 

Côte d’Ivoire: Stop aux violences conjugales.

Que les violences conjugales cessent car le corps de la femme n’est pas un tam-tam et celui de l’homme non une guitare.

Non aux violences conjugales

Nous avons assisté à une violence conjugale où une femme a été jetée par le balcon du troisième étage d’un immeuble à Abidjan et qui a créé l’émoi autant sur la toile et suscité la colère des ivoiriens.

Félicitations à la police du 38ème arrondissement d’Abidjan qui a œuvré à l’arrestation du violent mari qui a commis l’acte. Nous interpelons le procureur de la république, M. Adou Richard sur ce cas si grave qui saute aux yeux de tous.

Même si la femme par amour pour ce dangereux sentimental, est revenue pour témoigner contre sa propre vie, la police qui a agi promptement doit poursuivre cet assassin et que la justice le condamne à titre exemplaire afin d’en dissuader les autres. Le corps de la femme n’étant pas un tam-tam, les hommes se doivent de le respecter.

Si Dieu est passé par la femme pour qu’elle donne la vie, quelque soit la faute commise par cette dernière, l’homme doit savoir peser de toute sa sagesse pour circonscrire cette colère ou demeurant se séparer. Pour cet acte qui s’est produit cette nuit, si c’était à une hauteur plus grande, la dame serait morte.

C’est pourquoi, nous voudrions féliciter le commissaire du 38ème arrondissement pour avoir agi et les encourager à développer ce service qui suit les réseaux sociaux qui sont devenus par excellence, le support inséparable des sans voix.

Aux femmes qui battent aussi leur mari dont ceux-ci ont honte de le dire publiquement, il faut mettre fin à ces barbaries car le corps de l’homme n’est pas non plus une guitare. Comment peut-on s’imaginer que seule la violence peut-être sujette à propulser des sentiments amoureux ?

Encouragement aux autorités qui luttent contre les violences conjugales

Nous venons par ces lignes encourager les services des ministères en charge de ces dossiers de ne point se laisser distraire par les contrevenants et de les punir sévèrement.

Merci à ceux qui, très tardivement en cette période de couvre-feu, ont osé nous faire partager ce drame évité de justesse et au propriétaire de l’immeuble qui a su agir en responsable. De par leurs actions conjuguées, une vie de la femme a été sauvée.

Stop aux violences conjugales et place à l’amour, quand on ne se supporte plus, on se sépare.

                                                                       Joël ETTIEN

       Directeur de publication : businessactuality.com  

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