Simoes Pereira dans un sabotage ?A LA UNE AFRIQUE 

Guinée-Bissau: Jusqu’à quand Simoes Pereira s’arrêtera dans ses projets de sabotage ?

Simoes Pereira, jusqu’à quand comprendra t-il que la notion de la patrie doit primer sur tout ?

Que recherche Simoes Pereira ?

Voilà, un candidat malheureux à des élections présidentielles passées il y a plus de deux ans et qui n’arrive pas à digérer sa défaite et continue de salir l’image de son pays, la Guinée-Bissau.

Pour lui, le président actuel Umaro Embalo, dont il n’a de cesse de vouloir le renverser par des manières peu orthodoxes, tantôt par des voies contournées d’assassinat, parce que justement il a perdu la face, ne mérite pas de diriger ce pays que ses amis et lui avaient transformé en un hameau de trafic de drogue. Il fait blanchir son propre sommeil par ce qui est convenu d’appeler, le projet irréalisable, c’est-à-dire tenter à la vie du président Embalo pour prendre sa place.

Pour rappel, la victoire du général-président, sans doute que Simoes Pereira oublie d’où vient son rival, Embalo, mais il est militaire de haut rang et en matière de coup d’état, il est plus outillé que lui. Embalo est militaire et depuis la nuit des temps, il a participé ou observé les différents coups de force qui ont failli faire reculer son pays, ce qui l’a poussé à s’investir dans la politique.

Quand un militaire, surtout un général devient président démocratiquement élu, reconnu par la communauté internationale et surtout par la CEDEAO, le roi peut perdre sa couronne et non sa démarche, donc, ses projets de vouloir coûte que coûte renverser son pouvoir par des coups de force, il faut qu’il les oublie.

Comme localement il ne rencontre aucune adhésion pour ses projets machiavéliques, maintenant, il passe par des cybers activistes. Au lieu de remettre tout cet argent dans le développement de son pays, il paie des sommes faramineuses pour que ceux-ci salissent l’image du président Embalo. Si le président Embalo ne dit rien, ce n’est pas qu’il a peur, mais tout simplement il applique ce qu’on appelle, le chien aboie et la caravane passe.

Récemment, quand le président Embalo a reçu les députés, Simoes Pereira a eu l’amabilité de l’appeler Excellence Monsieur le président de la république, alors qu’est-ce qui n’a pas marché pour que ce dernier fasse appel à des cybers activistes et des télévisions portugaises pour saboter l’image de son président ?

La roue tourne et Simoes Pereira doit se dire que la politique n’est pas une course de vitesse mais de fond, et qu’à cette allure, il risque de vite s’essouffler. Il doit aussi penser à la population de son pays qui a été trop marginalisée et qui commence à remonter la pente doucement. C’est l’occasion à chaque enfant de ce pays, de lui manifester amour et contribution sincère et honnête pour son développement. En plus, on ne remet un flambeau qu’à celui qui sait attendre et conciliant. Il est si pressé, où met-il l’amour pour sa patrie ?

Embalo ne partira pas avec tout le pays, il ne fait que le servir tout comme lui, Simoes Pereira, mais à cette allure où il multiplie haine et vengeance, il va tôt ou tard se brûler les ailes.

Simoes Pereira n’est-il pas fier d’entendre le vrombissement des grosses machines qui font les routes ? N’est-il pas heureux pendant ses sorties dans la ville de Bissau, de voir des bâtiments dédiés aux différents services sociaux ? Pourquoi veut-il tout abroger si véritablement il aime ce pays ?

Heureusement qu’on ne gouverne pas avec les réseaux sociaux même si ceux-là, sont suivis par des milliers de gens, le plus dur et difficile, se passe sur le terrain et là dessus, Embalo fait un travail extraordinaire pour lequel, tous les Bissau-guinéens, doivent en être fiers. Comme dit l’adage, il n’y a rien dans jalousie, tout est dans l’amour.                                                 

Joël ETTIEN
                        Directeur de publication: businessactuality.com

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